25 Novembre 2018
"A l'usage des ignorants, des pisse-froids et des nantis" est le sous-titre de ce déni de littérature et d'intelligence. Philippe Benhamou et Jean-Laurent Turbet, frères de la GLDF, en sont les auteurs et en sont très heureux comme des poissons dans un bocal.
Jean-Laurent Turbet est non seulement connu pour son blog, avoir soutenu la Confédération Maçonnique de France qui voulait faire de la GLDF la nouvelle obédience régulière en France. Il est le "Directeur de communication" de la GLDF, mais aussi le fondateur de la "fraternelle" soutenant Macron. Bref, autant dire que Jean-Laurent Turbet est le spécialiste des mauvais choix et qu'il s'entraîne même. J'ignore tout des orientations maçonniques et politiques de Philippe Benhamou. Certainement, parce qu'il n'en a pas. Certainement, aussi, parce que je l'ai bloqué deux-trois fois de Facebook suite à ses insultes. On va dire que c'est un peu des deux.
Ces deux "frères" souhaitent se venger de leurs nombreuses frustrations en rédigeant leur petit livre, reflétant celles des dignitaires de la GLDF. Un très court article me concerne et un frère me l'a fait parvenir quelque peu surpris par sa teneur.
On pourra être choqué par sa vulgarité et le caractère injurieux des propos me concernant. Or, je dois reconnaître qu'il est tout à fait au niveau du haut enseignement maçonnique et ésotérique de la GLDF.
Je ne suis pas certaine qu'avec ce type d'ouvrage, nos deux auteurs se soient grandis ... et grandissent leur fabuleuse obédience, la GLDF - Grande Loge de France. Finalement, n'est-ce pas ce que je dis depuis toujours sur ce blog ? Enfin, j'ai la preuve ! Devrais-je même me affirmer !
Seulement, j'ai - visiblement et croyez-moi que je le regrette - un peu plus de respect à l'égard des frères de la GLDF que Benhamou et Turbet. S'ils voulaient se montrer drôle et satyrique, c'est plutôt raté. Il illustre la nature du préjudice que la GLFF (Grande Loge Féminine de France), en particulier son conseil fédéral, a souhaité me faire.
Voici bien un livre que je n'offrirais pas à mon père ... mais à mon avocat.
