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Gilets Jaunes : un micro-trottoir devant le GODF - Rue Cadet

J'ai visionner avec plaisir ce petit film de 50 minutes sur une question de fond : Est-ce que la démocratie est consubstantielle de la République ? Question ô combien piège mais dans le fond passionnante. L'idée générale est de valider une idée, celle de savoir si la République - partant d'un principe de représentation des citoyens par des élus, c'est-à-dire une "démocratie représentative" - peut être replacer par un système de démocratie directe.

La question est abordée dans mon article sur la Commune de 1871. Les communards avaient peu ou prou la même revendication. 

Il s'agit d'un micro-trottoir organisé par quelques gilets jaunes - dits "constituants Ile de France" - organisé devant les locaux du GODF, rue Cadet. 

Les frères qui ont joués le jeu sont bien courageux et se montrent même plutôt ouverts à la discussion. Après tout, c'est un peu une mission consacrée pour n'importe quel frère ou soeur. 

Bien sûr, mon propos n'est pas de savoir qui a raison ou pas - il ne s'agit pas d'un débat par K.O. - mais de constater qu'il serait temps de sortir des discours et idées toutes faites .... et d'écouter les citoyens. 

Je vous laisse apprécier cette expérience. N'hésitez pas à commenter. 

 

 

 

 

Après quelques recherches, vous pouvez trouver d'autres vidéos de ce groupe de Gilets Jaunes en cliquant ici. 

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A
Nous accusons!<br /> <br /> 4 mai 2019 Par Les Invités De Mediapart Blog : Le blog de Les invités de Mediapart <br /> <br /> Face à la dérive autoritaire du gouvernement, un très large collectif d'universitaires et de membres de la société civile s'insurge contre la «criminalisation» de toute personne s'opposant «à ses lois et à ses politiques funestes» et contre une «violence d'État» servie par l'usage d'armes de guerre. Ils appellent l’ensemble des citoyens «à se joindre au mouvement social».<br /> <br /> Depuis le 17 novembre 2018, plusieurs centaines de milliers de citoyen·ne·s expriment leur inquiétude face à un pouvoir sourd à leurs revendications. Ils trouvent la force et le courage de prendre la parole en disant haut et clair qu’ils en ont assez et ne subiront plus les effets des politiques néfastes qui depuis plusieurs décennies pillent impunément leur travail et les biens communs.<br /> <br /> Les voix des gilets jaunes ont permis de mettre à nu les mensonges et les pseudo-justifications « scientifiques » données par le pouvoir et la meute de ses courtisans pour couvrir l’ampleur et l’importance de la prédation. Leur soulèvement a montré le vrai sens d’une politique qui a sciemment organisé le transfert des biens laborieusement accumulés par 95 % de la population vers les 5 % des couches les plus aisées. Leur force a été de faire prendre conscience de la duplicité d’un pouvoir, osant se féliciter d’avoir multiplié par quatre les énormes richesses détenues par une infime minorité. Avec la grande majorité des Français.es, nous nous sommes reconnu.e.s dans la prise de conscience des gilets jaunes. Chacun.e de nous a pu constater que, dans tous les secteurs de la société, nous étions confronté.e.s aux effets des mêmes politiques qui tendent à aggraver constamment les inégalités sociales.<br /> <br /> D’emblée, les demandes et les attentes de changement nées avec ce soulèvement populaire ont été clairement développées. Elles se sont aussitôt heurtées à un pouvoir qui n’a cessé d’en ignorer le contenu pour en affadir la portée déstabilisante. Ce fut d’abord le silence assourdissant d’un président et de sa cour, murés dans leur palais. Ce fut ensuite la tentative de duper la foule avec les fausses promesses et les petites aumônes concédées en faisant encore payer les moins aisés et les services publics. Ce fut aussi la mise en place d’un simulacre de consultation d'où l'on avait avait très savamment extirpé toute possibilité d’interaction et de débat. Ce fut, surtout, la décision claire et réfléchie d’empêcher par tous les moyens l’expression publique des demandes et des revendications.<br /> <br /> Tout a été fait pour réduire au silence les manifestants. Dès les premiers actes, le pouvoir a choisi la violence en demandant aux forces de l’ordre de dégager les péages d’autoroutes, les ronds-points, de bloquer l’accès aux points de convergence des manifestations et, surtout, d’intervenir avec « fermeté ». Nous avons tou.te.s vu la traduction de ces ordres sur le terrain : nous avons constaté de nos yeux les filtrages et les arrestations arbitraires aux entrées des villes, empêchant les manifestations de se dérouler et la parole de s’exprimer. Nous avons vu les cabanes des ronds-points détruites et toujours courageusement reconstruites. Les techniques d’intervention policière consciemment choisies (nassage, lancement de gaz lacrymogène dès le début des manifestations, tirs de LBD sans sommation) provoquaient elles-mêmes les rares actes de violence en cherchant délibérément l’affrontement avec les manifestants.<br /> <br /> Semaine après semaine, cette technique meurtrière et liberticide a été appliquée avec une intensité croissante. Protégées par le pouvoir et couvertes par l’omerta d’une grande partie des médias, des troupes policières épuisées par le travail se laissent aller aux pires exactions. Des centaines d’hommes et de femmes manifestant pacifiquement ont été attaqué.e.s sans aucune raison et très souvent avec un acharnement insensé. Depuis le mois de décembre, le nombre des blessés graves augmente sans cesse : les personnes ayant subi de graves traumatismes se comptent par centaines. Aucune parole n’a été prononcée par le président de la République ou son gouvernement à l‘égard des victimes, et en particulier de Zineb Redouane, tuée après avoir été atteinte alors même qu’elle fermait sa fenêtre. Rien ne semble plus pouvoir arrêter cette dramatique escalade et nous avons honte de devoir assister à la mise en scène des autofélicitations du pouvoir censé contenir une « foule haineuse ».<br /> <br /> Le choix de la répression violente contre toutes celles et ceux qui osent se lever pour prendre la parole contre ces agissements n’est certes pas nouveau, il a notamment été mis en pratique dans les quartiers populaires et contre des groupes vulnérables comme les migrant.e.s et les roms ou encore contre les mouvements sociaux, mais depuis novembre 2018 un seuil a été franchi. Cette stratégie de la répression violente a trouvé son apogée lors de la manifestation du 1er mai 2019 : non seulement on a assisté au déploiement de tout l’éventail de l’arsenal répressif de l’État, mais le gouvernement s’est rendu coupable une fois de plus de mensonge avéré en criant au scandale d’une supposée « attaque » de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière par des manifestant.e.s venu.e.s trouver refuge. Ce mensonge d’État est le mensonge de trop. Il révèle l’état de fébrilité et de panique d’un pouvoir aux abois.<br /> <br /> Il faut que s’arrête cette violence d’État !<br /> <br /> Nous accusons le ministère de l’Intérieur de provoquer sciemment les réactions de violence dans nos villes, sur les ronds-points et les lieux de discussions publiques, afin de criminaliser toute personne qui s'oppose à ses lois et à ses politiques funestes.<br /> <br /> Nous accusons le gouvernement d’employer contre des civils des armes de guerre bannies dans l’ensemble des pays occidentaux en ignorant les mises en garde répétées de plusieurs organismes internationaux.<br /> <br /> Nous accusons la hiérarchie de la magistrature d’avoir accepté de couvrir cette politique néfaste en appliquant aveuglément et servilement les ordres donnés par le pouvoir exécutif.<br /> <br /> Nous accusons l’Inspection Générale de la Police Nationale d’avoir diligenté des enquêtes de façade et qui, à notre connaissance, n’ont débouché sur l'interpellation d’aucun membre des forces de « maintien de l’ordre ».<br /> <br /> Nous accusons celles et ceux de la presse et des médias télévisuels qui ont accepté de se transformer en porte-voix du ministère de l’Intérieur et de la préfecture sans accomplir aucun contrôle sur leurs sources.<br /> <br /> Nous appelons l’ensemble des citoyens à se joindre au mouvement social pour dénoncer la dérive autoritaire du gouvernement et nous exigeons la démission de M. Castaner ainsi que l’ouverture d’une commission d’enquête indépendante afin de faire la lumière sur les dérives des vrais responsables de sorte qu’ils soient traduits en justice.<br /> <br /> Signataires :<br /> <br /> Mokhtari Abdenour Chercheur en Sociologie<br /> <br /> Marc Abélès,anthropologue, EHESS<br /> <br /> Nicole Abravanel, historienne, université de Picardie<br /> <br /> Maira Abreu, doctorante en sociologie, Université de Paris 8 Sadia Agsous, Centre de recherche français à Jérusalem Karen Akoka, Université Paris-Nanterre<br /> <br /> Thomas Alam, politiste, université de Lille<br /> <br /> Arié Alimi, avocat au barreau de paris<br /> <br /> Manali Allen, littérature française, Université de Rutgers Paul Alliès, politiste, université de Montpellier<br /> <br /> Horacio Amigorena, psychanalyste, ancien professeur Jean-Loup Amselle, anthropologue, EHESS<br /> <br /> Frédéric Audard, Géographe, Université d’Aix-Marseille<br /> <br /> Marie Auffray-Seguette, sociologue, Institut Catholique de Paris<br /> <br /> Saliou Ba, étudiant en Master Intervention et développement social<br /> <br /> Magali Ballatore, MCF, AMU<br /> <br /> Marie Baltazar, anthropologue, jeune docteure EHESS<br /> <br /> Ludivine Bantigny, historienne, université de Rouen<br /> <br /> Jérémie Barthas, historien, CNRS, Paris<br /> <br /> Jean-Marc Baud, doctorant à l’ENS de Lyon<br /> <br /> Hélène Baye, enseignante en collège, Seine-Maritime<br /> <br /> Hugues Bazin, chercheur en sciences sociales<br /> <br /> Sylvain Beck, sociologue et éducateur spécialisé, Paris<br /> <br /> Yazid Ben Hounet, anthropologue, CNRS, Laboratoire d’Anthropologie Sociale Sami Ben Jaffel, entrepreneur, Montpellier<br /> <br /> Henri Bensidhoum, boulanger<br /> <br /> Christophe Benzitoun, linguiste, Université de Lorraine<br /> <br /> Alain Bertho, Anthropologue, Université de Paris 8<br /> <br /> Stéphane Bikialo, linguiste et littéraire, université de Poitiers<br /> <br /> Soline Blanchard, sociologue, Université de Lausanne<br /> <br /> Cécile Blatrix, politiste, AgroParisTech<br /> <br /> Françoise Bloch, socio-anthropologue, CNRS<br /> <br /> Alexis Blouet, juriste<br /> <br /> Philippe Bobichon, historien, CNRS<br /> <br /> Yann Boniface, Informatique, Université de Lorraine<br /> <br /> Pascal Bonnard, politiste, Université Jean Monnet Saint-Etienne <br /> <br /> Stéphane André, enseignant-chercheur Sciences Ingénieur, Université de Lorraine <br /> <br /> Armelle Andro, enseignante-chercheuse démographe, Paris 1 <br /> <br /> Pascal Anger, Enseignant, Université d’Angers <br /> <br /> Fabien Archambault, historien, université de Limoges <br /> <br /> Christophe Bonneuil, historien, Cnrs <br /> <br /> Véronique Bontemps, anthropologue, CNRS, Paris <br /> <br /> Yannick Bosc, historien, Université de Rouen <br /> <br /> Paul Bouffartigue, sociologue, CNRS, Aix-en-Provence <br /> <br /> Ali Boulayoune, sociologue université de Lorraine<br /> <br /> Philippe Boursier, professeur de sciences économiques et sociales, Rennes<br /> <br /> Driss Boussaoud, neuroscientifique au CNRS, Marseille<br /> <br /> Théo Boyadjian, enseignant, lycée Aulnay-sous-Bois<br /> <br /> Françoise Brunel, MCF honoraire, Paris 1<br /> <br /> Monique Buresi, documentaliste, Musée du Louvre<br /> <br /> Pascal Buresi, historien, CNRS-EHESS, Lyon<br /> <br /> Joel Cabalion, sociologue, Université de Tours<br /> <br /> Joseph Cacciari, Université Paris-Est Marne-la-Vallée<br /> <br /> Claude Calame, historien, EHESS, Paris<br /> <br /> Adrian Calmettes, doctorant en économie, université Nice Sophia Antipolis<br /> <br /> Romain Carnac, politiste, université de Lausanne<br /> <br /> Vanessa Caru, historienne, CNRS<br /> <br /> Thérèse Casadamont-B., retraité de l'Éducation nationale, Montpellier<br /> <br /> Nicolas Castel, Sociologue, Université de Lorraine<br /> <br /> Jean-Noël Castorio, historien, Université du Havre<br /> <br /> Antoine Chambert-Loir, mathématicien, Université Paris-Diderot<br /> <br /> Arnaud Chabrol, éditeur<br /> <br /> Vincent Charbonnier, université de Nantes-ÉSPÉ<br /> <br /> Laurence Charlier, anthropologue, MCF, Université Jean Jaurès Toulouse<br /> <br /> Bernard Charlot, Université Paris 8 et UFS de Sergipe, Brésil.<br /> <br /> Lucie Chartier<br /> <br /> Francis Chateauraynaud, sociologue, EHESS, Paris<br /> <br /> Séverine Chauvel, sociologue, Université de Paris-Est-Créteil<br /> <br /> Sébastien Chauvin, sociologue, Université de Lausanne<br /> <br /> Delphine Chedaleux, enseignante-chercheuse en infocom, Université de Lausanne Luc Chelly<br /> <br /> Stéphanie Chevrier, éditrice<br /> <br /> Marie-Pierre Chopin, sciences de l'éducation, Université de Bordeaux<br /> <br /> Sylvie Chiousse, socio-anthropologue<br /> <br /> Cristina Ciucu, philosophe, EHESS<br /> <br /> Yves Cohen, historien, EHESS<br /> <br /> Sonia Combe, historienne, Centre Marc Bloch<br /> <br /> Fanny Cosandey, Historienne, EHESS, Paris<br /> <br /> Enzo Cormann, dramaturge, MCF ENSATT, Lyon<br /> <br /> Claire Cossée, sociologue, UPEC<br /> <br /> Annie Couëdel, sciences de l’éducation Paris 8<br /> <br /> Pierre Cours-Salies, sociologue, Paris 8<br /> <br /> Pascal Cristofoli, ingénieur de recherche, EHESS, Paris<br /> <br /> Marie Cuillerai, Paris Diderot<br /> <br /> Alexis Cukier, philosophe, université de Poitiers<br /> <br /> Mariannick Dagois, Université Paris8 <br /> <br /> Leyla Dakhli, historienne, CNRS, Paris<br /> <br /> Jocelyne Dakhlia, Historienne, EHESS, Paris<br /> <br /> Aurélie Damamme, sociologue, Université de Paris 8<br /> <br /> Jean-Marie Darbon, directeur de recherche INSERM retraité, Toulouse<br /> <br /> Fanny Darbus, sociologue, université de Nantes<br /> <br /> Clara Da Silva, enseignante de philosophie, Lycée Lavoisier, Paris 5ème<br /> <br /> Anne Dauphiné, juriste à la recherche d’un emploi<br /> <br /> Corinne Davault, sociologue, université de Paris 8<br /> <br /> Etienne De Clara, Biologiste, Université de Columbia<br /> <br /> Laurence De Cock, historienne, Paris<br /> <br /> Joan Deas, doctorante en science politique, Sciences Po Grenoble<br /> <br /> Alice Debauche, sociologue, Université de Strasbourg<br /> <br /> Adrien de Jarmy, doctorant en histoire des débuts de l’islam, Sorbonne Université<br /> <br /> Christian Delacroix, historien<br /> <br /> Christian Delarue, animateur du site amitie-entre-les-peuples.org<br /> <br /> Frédéric Delarue, docteur en histoire contemporaine<br /> <br /> Fabien Desage, science politique, Université de Lille<br /> <br /> Claire Desmitt, doctorante en Sciences de l’éducation, Université de Lille.<br /> <br /> Sophie Desrosiers, historienne et anthropologue, EHESS<br /> <br /> Victoire Diethelm, doctorante en Lettres Modernes, Université de Bourgogne Franche Comté Nicolas Dot-Pouillard, Chercheur en sciences politiques, Beyrouth<br /> <br /> Etienne Douat, sociologue, Université de Poitiers<br /> <br /> Yann Dourdet, Professeur de Philosophie.<br /> <br /> Marnix Dressen-Vagne, sociologue UVSQ UMR Printemps<br /> <br /> Jeanne Drouet, ingénieure CNRS Lyon<br /> <br /> Bruno Drweski, historien, politologue. INALCO, Paris<br /> <br /> Vincent Dubois, Université de Strasbourg<br /> <br /> Jeanne Dulyse Pasquet, enseignante spécialisée<br /> <br /> François Dumasy, historien.<br /> <br /> Lucie Dupré, anthropologue, INRA<br /> <br /> Jean-Baptiste Durand, chercheur CNRS, Toulouse<br /> <br /> Julien Durand, post-doc INSA, Toulouse<br /> <br /> Henri Eckert, sociologue, Université de Poitiers<br /> <br /> Nicole Edelman, historienne<br /> <br /> Suzanne El Farra, écrivaine, professeur<br /> <br /> Philippe Enclos, juriste, université de Lille<br /> <br /> Didier Epsztajn, animateur du blog “entre les lignes entre les mots”<br /> <br /> Nathalie Ethuin, science politique, université de Lille<br /> <br /> Corine Eyraud, sociologue, Université Aix-Marseille<br /> <br /> Jules Falquet, féministe, sociologue, Université de Paris<br /> <br /> Patrick Farbiaz<br /> <br /> Héloïse Faucherre-Buresi, fonctionnaire stagiaire, ENS de Lyon<br /> <br /> Jean-Michel Faure, Pr émérite sociologie, université de Nantes<br /> <br /> Benjamin Ferron, sociologue, UPEC<br /> <br /> Agnès Fine, anthropologue, EHESS<br /> <br /> Marianne Fischman, sciences économiques et sociales, Académie de Paris <br /> <br /> Anders Fjeld, philosophe, Université Paris Diderot<br /> <br /> Mathieu Flinois, Doctorant en sociologie, Université de Provence<br /> <br /> Jean-Philippe Foegle, Juriste, Université Paris Nanterre<br /> <br /> Jean-Michel Fourniau, sociologue, IFSTTAR<br /> <br /> Lydéric France, Enseignant-Chercheur, Géosciences, Université de Lorraine Bernard Friot, sociologue, Université Paris Nanterre<br /> <br /> Laurent Gabail, anthropologue, Université Toulouse Jean Jaurès<br /> <br /> Jérôme Gaillaguet, sociologue, EHESS, Paris<br /> <br /> Claire Gallien, MCF études anglophones, UPVM3, Montpellier<br /> <br /> Juliette Galonnier, sociologue, Ined<br /> <br /> Edith Galy, PU en ergonomie, Université Nice Sophia-Antipolis<br /> <br /> Camille Gardesse, sociologue urbaniste, Université Paris Est<br /> <br /> Médéric Gasquet-Cyrus, sociolinguiste, Université d’Aix-Marseille<br /> <br /> Pascal Gassiot , Fondation copernic, Toulouse<br /> <br /> Vincent Geisser, chercheur CNRS, président CIEMI<br /> <br /> Frédérick Genevée, historien, responsable de musée<br /> <br /> Julie Gervais, politiste, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne<br /> <br /> Mehdi Ghouirgate, Historien, Université Bordeaux-Montaigne.<br /> <br /> Laurence Giavarini, enseignante-chercheuse, Lettres, Université de Bourgogne Pascale Gillot, philosophe, université de Tours.<br /> <br /> Tommaso Giuriati, doctorant en sociologie, Université de Corse<br /> <br /> Boris Gobille, politiste, Ecole Normale Supérieure de Lyon<br /> <br /> Josua Gräbener, politiste, Bruxelles<br /> <br /> Maurizio Gribaudi, historien, EHESS, Paris<br /> <br /> Pascal Guibert, enseignant-chercheur, Université de Nantes<br /> <br /> Michelle Guerci, journaliste<br /> <br /> Caroline Guibet Lafaye, sociologue, philosophe, CNRS<br /> <br /> Pierre Guillemin, doctorant en géographie, Université de Caen Normandie<br /> <br /> Elie Haddad, historien, CNRS<br /> <br /> Hugo Harari-Kermadec, économiste, ENS Paris-Saclay<br /> <br /> Samir Hadj Belgacem, sociologue, Université Jean Monnet, Saint-Etienne<br /> <br /> Iulia Hasdeu, anthropologue HETS Genève<br /> <br /> Jean-Marie Harribey, économiste, Université de Bordeaux<br /> <br /> Ingrid Hayes, historienne, Université Paris-Nanterre<br /> <br /> Benoit Hazard, anthropologue, CNRS, IIAC<br /> <br /> Anaïs Henneguelle, économiste, Université de Rennes 2<br /> <br /> Jacqueline Heinen, sociologue, UVSQ<br /> <br /> Odile Hélier anthropologue<br /> <br /> Mélanie Henry, historienne<br /> <br /> Odile Henry, Sociologue, Université Paris 8<br /> <br /> Etienne Hubert, historien, EHESS, Paris<br /> <br /> Romain Huret, historien, EHESS, Paris<br /> <br /> Sabina Issehnane, économiste, Université Rennes 2<br /> <br /> Mila Ivanovic, Docteure en sciences politiques sans poste, Paris<br /> <br /> Lloyd Izard, Institut Méditerranéen d’Océanologie, Université d’Aix-Marseille Louis Jachiet, informaticien, CNRS, Lille <br /> <br /> Nicole Jacques-Lefèvre, Professeur des Universités émérite Nanterre, lettres Lionel Jacquot, Sociologue, Université de Lorraine<br /> <br /> Sébastien Jahan, Historien, Université de Poitiers<br /> <br /> Anne Jollet, Historienne, Université de Poitiers <br /> <br /> Nicolas Jaoul, Anthropologue, CNRS/IRIS/EHESS<br /> <br /> Pierre Jardon, Professeur, Université de Grenoble<br /> <br /> François Jarrige, Historien, université de Bourgogne, Dijon<br /> <br /> Marc Jeanmougin, informaticien, Télécom Paris<br /> <br /> Fanny Jedlicki, sociologue, université du Havre<br /> <br /> Samy Johsua, Professeur retraité Université Aix-Marseille<br /> <br /> Elise Julien, historienne, Sciences Po Lille<br /> <br /> Lama Kabbanji, chercheuse, IRD-CEPED<br /> <br /> Damien Keller, bibliothécaire, Rennes<br /> <br /> Danièle Kergoat, sociologue, CNRS<br /> <br /> Pierre Khalfa, économiste, Fondation Copernic<br /> <br /> Michel Kokoreff, sociologue.<br /> <br /> Jean-Luc Kop, psychologie, Université de Lorraine<br /> <br /> Isabelle Krzywkowski, Université Grenoble Alpes<br /> <br /> Claire Lacour, mathématicienne, Université Paris-Est Marne-La-Vallée Rose-Marie Lagrave, sociologue, EHESS<br /> <br /> Bernard Lahire, sociologue, ENS de Lyon<br /> <br /> Ouida Lambert Bordji, enseignante en anglais - St Germain en Lay<br /> <br /> Michel Lanson, professeur retraité<br /> <br /> Mathilde Larrère, historienne<br /> <br /> Sabine Laurent, maîtresse de conférence à la retraite<br /> <br /> Christian Laval, sociologue, Université Paris Nanterre<br /> <br /> Hervé Le Crosnier, éditeur, Caen<br /> <br /> Gildas Le Dem, journaliste<br /> <br /> Eric Lecerf, philosophe, Université Paris 8<br /> <br /> Chloé Leprince, journaliste<br /> <br /> Julien Léonard, historien, Université de Lorraine<br /> <br /> Erwan Lehoux, enseignant en sciences économiques et sociales à Rouen Benoît Leroux, sociologue, Université de Poitiers<br /> <br /> Brice Le Gall, sociologue et photographe, EHESS<br /> <br /> Frédéric Le Roux, mathématicien, Sorbonne Université Université Paris 8 et 7 Emir Mahieddin, anthropologue, CNRS <br /> <br /> Pascal Maillard, Littérature française, Université de Strasbourg<br /> <br /> Jean Malifaud, mathématicien, syndicaliste FSU<br /> <br /> Jean-Claude Mamet, syndicaliste<br /> <br /> Léopoldine Manac’h, étudiante en anthropologie, EHESS.<br /> <br /> Jimmy Markoum, enseignant en histoire-géographie, Lycée Angela Davis - Saint-Denis Anne Martel, Biophysicienne - Grenoble<br /> <br /> Antoine Lévêque, ATER en science politique, Sciences Po Lyon <br /> <br /> Wenceslas Lizé, sociologue, Université de Poitiers <br /> <br /> Gaëlla Loiseau, sociologue, université du Havre <br /> <br /> Camille Louis, philosophe, <br /> <br /> Gilles Martinet, géographe, doctorant à la Sorbonne Nouvelle - Paris 3 Gustave Massiah, économiste<br /> <br /> Gutierrez Beatriz Hispaniste<br /> <br /> Béatrice Matrot, enseignante lycée Chalon-sur-Saône. <br /> <br /> Gérard Mauger, sociologue, CNRS<br /> <br /> Guillaume Mazeau, historien, Université Paris-1 Panthéon Sorbonne<br /> <br /> Véronique Melchior, Psychologue clinicienne<br /> <br /> Lamia Mellal ITRF, IREMAM<br /> <br /> Eléonore Merza Bronstein, anthropologue, co-directrice de De-Colonizer.<br /> <br /> Noufissa Mikou, professeure retraitée, Université de Bourgogne<br /> <br /> Christophe Mileschi, professeur, université Paris Nanterre<br /> <br /> Lamia Missaoui, Sociologue, Université de Versailles St-quentin-en yvelines<br /> <br /> Sylvie Monchatre, sociologue, Université Lumière Lyon2<br /> <br /> Vincent Monfort, STAPS, Université de Lorraine<br /> <br /> Marc Moreigne, écrivain et enseignant Arts du spectacle, Université d’Evry Val d’Essonne Danielle Moyse, chercheuse associée IRIS ( EHESS, CNRS, INSERM)<br /> <br /> Laurent Mucchielli, CNRS, Laboratoire Méditerranéen de Sociologie, Aix-en-Provence Mustapha Nadi, PU 63ème, Electronicien, Université de Lorraine<br /> <br /> Yvan Najiels, enseignant.<br /> <br /> Philippe Nabonnand, Enseignant, Université de Lorraine<br /> <br /> Erik Neveu, science politique, Université de Rennes<br /> <br /> Norig Neveu, histoire, CNRS, IREMAM, Aix-en-Provence<br /> <br /> Olivier Neveux, Ens de Lyon<br /> <br /> Gérard Noiriel, historien, EHESS, Paris<br /> <br /> Vincent Nyckees, linguiste, Université Paris Diderot<br /> <br /> Anne-Claudine Oller, sociologue, UPEC<br /> <br /> Julien O’Miel, politiste, Université de Lille<br /> <br /> Claude Paraponaris, économiste, Université Aix Marseille<br /> <br /> Alain Parrau, chargé de cours littérature française, Paris 7<br /> <br /> Frédéric Perdreau, EC sciences de gestion, Université de Saint-Etienne<br /> <br /> Stéfane Paris, informaticien, université de Lorraine<br /> <br /> Willy Pelletier, sociologue, université de Picardie<br /> <br /> Bastien Pereira Besteiro, sociologue, Université Lumière Lyon 2<br /> <br /> Anne Petiau, sociologue, Paris<br /> <br /> Roland Pfefferkorn, sociologue, Université de Strasbourg<br /> <br /> Anne-Laure Piallat, professeur, Paris<br /> <br /> Béatrice Pinat, professeur des écoles, Créteil<br /> <br /> Michel Pinault, historien des sciences et des milieux scientifiques<br /> <br /> Dominique Plihon, économiste, université Paris 13<br /> <br /> Raphael Porteilla, politiste, université de Bourgogne<br /> <br /> Paul Platzer, physicien, université Bretagne Loire<br /> <br /> Marion Plault, sociologie, université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines<br /> <br /> Clyde Plumauzille, historienne, CNRS, Paris<br /> <br /> Pierre Puchot, écrivain, journaliste<br /> <br /> Jean Puyade enseignant en espagnol retraité Paris<br /> <br /> Pablo Rauzy, informaticien, Université Paris 8 <br /> <br /> Gianfranco Rebucini, anthropologue, EHESS<br /> <br /> Candice Raymond, historienne, université Paris 1<br /> <br /> Manuel Rebuschi, philosophie, université de Lorraine<br /> <br /> Yannick Reix - directeur cinéma Jacques Tati - 93<br /> <br /> Eugenio Renzi, enseignant, journaliste<br /> <br /> Michèle Riot-Sarcey, historienne<br /> <br /> Fabrice Riceputi, enseignant et historien, Besançon<br /> <br /> Marie-Pierre Rousseau Boileau, AED, lycée Les Pannevelles 77<br /> <br /> Nicole Roussel, retraitée<br /> <br /> Valérie Roussel, Enseignante, Philosophie. Académie de Limoges<br /> <br /> Laura Ruiz de Elvira, politiste, IRD-CEPED<br /> <br /> Valérie Sala Pala, politiste, Université Jean Monnet Saint-Etienne Alessandro Sarti, mathématicien, CNRS-EHESS, Paris<br /> <br /> Daniela Scancella, Ingénieur d’études EHESS<br /> <br /> Michel Seigneuret, Biophysicien, CNRS, Université Denis Diderot-Paris 7 Nicolas Sembel, Sociologue, Université Aix-Marseille<br /> <br /> Silvia Serrano, politiste, Sorbonne Université<br /> <br /> Thomas Shaw, comédien, Paris<br /> <br /> Catherine Simon, journaliste, écrivain<br /> <br /> Patrick Simon, démographe, Ined, Paris<br /> <br /> Maroula Sinarellis, retraitée, LaDéHiS/CRH/EHESS<br /> <br /> Rémi Sinthon, sociologue, Paris<br /> <br /> Michèle Soriano, latino-américaniste, Université Toulouse Jean Jaurès Paul Sorrentino, anthropologue, EHESS<br /> <br /> Karim Souanef, sociologue, université de LIlle<br /> <br /> Jacques Testart, biologiste, INSERM<br /> <br /> Marie-Thérèse Têtu, sociologue, CNRS Lyon<br /> <br /> Charles Thibout, chercheur, IRIS<br /> <br /> Gérard Tollet, enseignant, université P12-UPEC<br /> <br /> Christian Topalov, sociologue, EHESS, Paris<br /> <br /> Marc Tomczak, automatique et traitement du signal, université de Lorraine Jean-Louis Tornatore, anthropologue, université de Bourgogne<br /> <br /> Jean-Luc Tornero, retraité, enseignant, syndicaliste<br /> <br /> Jocelyne Tournois, retraitée, Université de Lorraine<br /> <br /> Michel Touzet, libraire<br /> <br /> Maryse Tripier, sociologue Université Paris-Diderot<br /> <br /> Vanessa Tico Rivera, Ergonome Toulouse<br /> <br /> François Valegeas, urbaniste, Université Paul-Valery Montpellier 3<br /> <br /> Patrick Vassallo, économie sociale et solidaire, Paris 8<br /> <br /> Mélanie Vay, Université de Paris Panthéon-Sorbonne<br /> <br /> Carlo Vercellone, économiste, Université de Paris 8<br /> <br /> Frederic Verhaegen, MCF psychologie, université de Lorraine<br /> <br /> Pauline Vermeren, philosophie, Paris 7 / Paris 8<br /> <br /> Bernard Vernier, anthropologue<br /> <br /> Sébastien Vignon, politiste, Université de Picardie<br /> <br /> Christiane Vollaire, philosophe, Paris <br /> <br /> Sophie Wauquier, linguiste, Université Paris 8, Université pour la Paix.<br /> <br /> Pierre-Olivier Weiss, ATER en sociologie, Laboratoire Méditerranéen de Sociologie, Aix-en-Provence<br /> <br /> Sylvie Wharton, sociolinguiste, Université d’Aix-Marseille<br /> <br /> Carole Yerochewski, sociologue, Université du Québec en Outaouais<br /> <br /> Michelle Zancarini-Fournel, historienne, université de Lyon<br /> <br /> Nadjet Zouggar, islamologie, Université Aix Marseille<br /> <br /> Elisabeth Zucker<br /> <br /> Nepthys Zwer, germaniste, Strasbourg
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G
Qu'est ce qui ne va pas en France à peu près tout. Trouver un logement, c'est chercher une aiguille dans une meule de foin. Travailler, c'est le parcours du combattant pour trouver un emploi.Les études, elles sont de plus de plus en plus onéreuses pour l'étudiant et, ce dernier doit abandonner. C'est la perte terrible d'un cerveau, pour la France, qui doit faire face à la concurrence technologique et autres. des Pays avancés. Se soigner, j'ai l'exemple de mon arrêt cardiaque. Les Pompiers interviennent et, je suis transporté à l'Hôpital Pompidou. Dix heures d'attente allongé sur un chariot, parmi tant d'autres, et sans aucun soin, avant de pouvoir trouver une chambre. Circuler, l'automobiliste est une vache à lait et de plus aujourd'hui, le fait de toucher un volant, vous devenez ipso facto, un délinquant. Des discussions qui n'en finissent pas sur les 80 ou90 Km h. Un gouvernement qui s'exprime pour ne rien dire sans aucune décision de fond. Une paupérisation profonde des gilets jaunes. Un boxeur qui écope d'une justice bananière, un an de prison, pour avoir voulu défendre une femme étendue à terre et bastonnée par des CRS. On affame un peu plus les retraités avec la CSG et, les pensions ne sont pas valorisées. Vive la France. C.Galinier
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V
Au Moyen Âge les loups entraient dans Paris jusqu’au pied de Notre-Dame. En juin 40 ils défilaient sur les Champs Élysées. Un samedi ils avaient envahi la Place de la République et criaient aux policiers d’aller se suicider ! Depuis l’origine, la composition du patatoïde que constitue le mouvement des gilets jaunes rend difficile la vie des journalistes pour qualifier les individus qui manifestent le samedi. En qui me concerne dès le 3 décembre 2018, j’avais écrit ce qui suit, aux parlementaires et aux médias .<br /> « Parmi les manifestants des samedis qui se succèdent, il y a de faux « gilets jaunes « et de vrais individus violents venus casser du flic et des vitrines de banque, et piller des magasins de luxe. »<br /> Précisons :<br /> LES FASCISTES <br /> Il y a les fachos purs et durs et des « gilets jaunes « qui sont des graines de fasciste. Le Ministre Darmanin parlait de « peste brune ». Certains médias évoquent les fâchos fâchés. Cela m’a inspiré le « poème » bancal suivant : <br /> Je suis enfant violent<br /> Deloncle et de la nièce<br /> Dans c'putain d'Occident<br /> Qui fit ma jeunesse<br /> <br /> J'suis l'enfant trouducune <br /> Du borgne et du poujadisme<br /> Gilet jaune et chemise brune <br /> Je suis le populisme <br /> LES ANARCHISTES <br /> De parfaits connards parisiens qui se prétendent « anarchistes » se font plaisir en cassant du flic, des DAB et en faisant un carnage à l’Arc de Triomphe. Ils pensent qu'ils vont ainsi abattre les fondements de la République ! Ils sont de fait, désavoués par de vrais anarchistes intelligents (çà existe !) qui de la Fédération de Lyon leur explique dans un article sur le net publié le 28 novembre 2018, qui commence ainsi : « Le mouvement des gilets jaunes a toutes les caractéristiques objectives d’un mouvement de droite conservatrice. Pourtant, des camarades décident de le soutenir sans réserves et de contribuer au populisme ambiant. Premiers éléments d’analyse d’un choix dangereux. ». À lire : https://rebellyon.info/Le-choix-dangereux-du-confusionnisme-19845 - fin de citation<br /> <br /> Les milliers de manifestants sur la Place de la République ne sont pas des anarchistes. Qu’ils soient vêtus de noirs ou de gilets jaunes, ce sont des fascistes, notamment quand ils hurlent en bande comme des loups : « Suicidez-vous ! ». Tous les étudiants en classe de philo ont un jour étudié cette proposition de Camus : “ Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide. Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue, c’est répondre à la question fondamentale de la philosophie”.<br /> C’est une des libertés fondamentales des hommes que de choisir entre la vie et la mort pour eux mêmes. C’est ainsi que firent Allende, Brossolette, Deleuze ou Socrate, buvant volontairement la cigüe. Aussi, quand des individus de France, pays des Droits de l’Homme, se prétendant « libertaires » « et voulant abolir tout pouvoir pour la liberté absolue, imposent à d’autres de mourir, on n’a pas affaire à des anarchistes mais à des fascistes. <br /> Dans le patatoïde présent Place de la République ce jour là, il y avait bien des « antisémites, des homophobes, des racistes, des xénophobes, des fascistes, des lepénistes, des vichystes, des pétainistes et des anti-maçons. En résumé : des anti-républicains.
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L
Heu ... Vadabus, et les 300 blessés graves par des LDB qui sont des armes de guerre de classification A, c'est quoi ? Des fachos qui le méritaient bien ? <br /> Des policiers se suicident depuis plusieurs années dans l'indifférence des différents gouvernements. Une association "policiers en colère" a été fondée ppur lutter contre le suicide. Dès que l'on s'en réfère, on souligne qu'elle est "d'extrême droite". Sa fondatrice s'est suicidée en novembre 2018 dans l'indifférence générale. <br /> L'année dernière, 35 policiers et depuis le début de l'année, on en compte plus d'une vingtaine. <br /> Qui les pousse au suicide ? Des Gilets Jaunes ou leur condition de travail ? <br /> Le suicide est l'expression d'une souffrance incroyable, d'un désespoir absolu, que l'on imagine même pas. Si on a le droit de se suicider, on n'a pas le droit de laisser souffrir des personnes à ce point.
C
J'ai regardé la vidéo, <br /> Beaucoup de clichés de la part des Gilets Jaunes présents sur cette vidéo et le frère qui avec beaucoup de bienveillance a répondu aux questions a eu raison.<br /> Il ne faut pas fuir le dialogue c'est le meilleur moyen de faire reculer les préjugés, les approximations, et les erreurs et dans cette vidéo les amalgames sont nombreux. <br /> Un des gilets jaunes a indiqué ce sont les citoyens qui doivent décider directement. Si j'ai bien compris il était contre la République et pour le démocratie directe. Il a oublié qu'il peut y avoir plusieurs types de Républiques. Quant à la démocratie directe n'est ce pas ce que nous faisons dans nos loges? <br /> La situation sociale de ce pays est telle que le silence des obédiences est coupable à ce sujet. Ce n'est pas en rangeant la poussière sous le tapis que l'on va régler les problèmes. <br /> Il est plus que temps qu'elles se prononcent afin de rappeler quelques principes. Si j'ai bien compris un autre des protagonistes Gilet Jaune se prononçait ou s'interrogeait sur la laïcité. Si le Frère avait osé il aurait pu demander à l'intervenant Gilet Jaune si il préfèrait le bon temps des guerres de religions?<br /> Par ailleurs, ce n'est pas la maçonnerie qui a déclaré la guerre à l'Eglise mais l'Eglise qui a excomunié les FM. <br /> Des provocations, une méconnaissance manifeste de la Franc-Maçonnerie malgré une érudition certaine et livresque teintée de complotisme, mais au final un dialogue qui manque tant à notre société d'aujourd'hui dont la question fondamentale est de s'interroger sur ce qui bien et juste pour quelques uns ou pour le maximum de nos concitoyens.
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L
Je n'ai pas souhaité juger le fond de la discussion dans mon article. Elle est "improvisée" et -disons-le - sur un coin de trottoir, c'est pas le mieux. J'ai apprécié l'expérience pour ce qu'elle est : une expérience dans une tentative de discussion. Le frère qui fait presque la totalité du film a été très bon. Il manque à ces gilets jaunes une culture maçonnique de fond. Mais, finalement, à qui la faute ? <br />