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La Maçonne

Laurel & Hardy : les compagnons de la Nouba. (un film de 1934)

Laurel & Hardy : les compagnons de la Nouba. (un film de 1934)

C’est un film qu’un frère m’a envoyé, désireux de m’amuser. C’est d’ailleurs ce qui arriva. Comme je suis de nature partageuse, vous pouvez à loisir le regarder en suivant le lien ci-dessous.

Ce petit bijou du cinéma est une satire de quelque chose que vous connaissez bien. Les images des 6 premières minutes du film parlent pour elles. L’élément féminin n’est pas totalement absent de l’histoire … et, disons-le, un peu vengeur.

Laurel & Hardy : les compagnons de la Nouba. (un film de 1934)
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R
Merci, chère Maçonne pour ton invitation.<br /> Je te lis chaque matin, ou presque, avec un vif plaisir. Mais je ne suis intervenu que très rarement sur ce forum. Ceci parce que je ne connais que très mal la Franc-Maçonnerie française et ses problèmes et qu'il me semble que les débats qu'ils engendrent, s'il me sont totalement étrangers, sont parfois extrêmement agressifs. Cependant c'est avec plaisir, et à titre anecdotique, que ça et là je pourrais donner quelques éclairages sur la Maçonnerie anglo-saxonne, celle que je pratique, si ceci peut être utile. Cela en dehors de toute polémique bien entendu et j'y tiens.<br /> Bon courage et bonne continuation! Sincèrement et Fraternellement .
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L
Comme je me suis faite à l'idée de modérer les commentaires, pour ce qui est de la polémique, je commence à savoir gérer. <br /> Ensuite, j'ai trouvé le petit clic qui permet même d'empêcher tous commentaires sur un article en particulier ... <br /> Comme tu l'imagines, les soeurs, ne connaissent rien à la FM anglo-saxonne ... et ouvrir des portes et apporter de quoi permettre une meilleure compréhension des deux côtés, cela peut être sympa.
A
Bonjour à tous.<br /> Ma TC sœur, tu m’as fait retrouver un instant le rire du jeune collégien que j’étais quand j’ai fait connaissance avec ce duo de comiques troupiers du cinéma devenu parlant et découvert, entre autres, ce morceau d’anthologie où je ne pouvais alors voir ni de référence à la maçonnerie ni de leçon de vie conjugale.<br /> Dans le genre, on trouve à 5 mn 28 s du début :<br /> D : As-tu besoin de tout demander à ta femme ?<br /> R : Si je ne lui demandais pas, je ne pourrais pas savoir ce qu’elle veut que je fasse.<br /> Les loges masculines devraient peut-être l’ajouter au tuilage du premier degré.<br /> L’appartenance d’Oliver Hardy à la maçonnerie (1937) est bien connue, comme celle de John Wayne, Clark Gable et autres célébrités du cinéma et du music hall américains.<br /> Stan Laurel n’en était pas (ou alors, contrairement à son personnage du film, il a bien su garder le secret). Il est vrai qu’il n’aurait pas eu le temps d’aller en loge, vu sa vie sentimentale agitée, ses multiples mariages, divorces et remariages, parfois deux fois avec la même et parfois avec deux en même temps.<br /> En 2016 comme en 1934, « les Compagnons de la Nouba » nous offre un moment de belle et bonne rigolade décomplexée, avec, en guise de « happy end », le frère Oliver Hardy qui se fait dérouiller copieusement par son épouse et garde un bel œil au beurre noir en souvenir de la séance.<br /> Mais, mais, dites-moi, est-il normal qu’on laisse faire sans rien dire cette apologie de la violence conjugale dont sont victimes les hommes ? Mais que fait donc SOS hommes battus ?!<br /> Laurel et Hardy, association de deux patronymes d’acteurs est devenu le nom d’un duo de légende.<br /> Au départ Oliver Hardy était sensé tenir le second-rôle, celui de faire-valoir de la vedette Stan Laurel. Mais ensuite ils ne purent plus, ni l’un ni l’autre, réussir une carrière séparément, étant devenus chacun la moitié d’un tout.<br /> A mes yeux le duo de personnages qu’ils ont incarné représente non la fraternité mais l’amitié profonde, exclusive, irréversible, insensible à toutes les différences et qui s’ignore elle-même. L’amitié en noir et blanc, pure et sans tâche.<br /> Heureusement les personnages de légende, sinon de fiction, vivent souvent plus longtemps que les êtres de chair.<br /> Oliver Hardy mourut le premier et il paraît que, plusieurs années plus tard, Stan Laurel malade et voyant son heure approcher eut ces paroles :<br /> « Oliver Hardy est mort paralysé du côté droit, je meurs paralysé du côté gauche, ce sera notre dernier gag. »<br /> Salutations fraternelles et bonne journée à tous.<br /> Arsène.
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L
C'est amusant, j'ai pensé à la même chose que toi en voyant ce pauvre avec son oeil au beurre noir ! <br /> Et le passage quand Madame monte à l'assaut de son grenier, fusil de chasse à la main, en déclarant "je ne rate jamais ma cible" ... Hilarant, mais complètement impossible de tourner cela aujourd'hui !
R
Heureuse coïncidence. Laurel n'était pas Maçon et ne le fut jamais, contrairement à Hardy, 32ème et Shriner qui fut fidèle à ses loges jusqu'à sa mort.
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L
Merci Rudyard, tu nous apprends plein de chose ! Si un jour tu veux une petite place sur ce blog, pas de souci.
L
Stan LAUREL, OLIVER Hardy.<br /> Sous le Laurier et l'Olivier ?
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R
Film hautement hilarant que je connais depuis longtemps en tant que fan de Laurel et Hardy et F.M.Hautement féministe version hard en outre. Pour être sérieux ce film montre une histoire de Shriners (Ancient arabic order of the nobles of the mystic shrine) société Maçonnique recrutant jusqu'à il y a peu seulement parmi les 32 du REAA.Revendiquant 400 000 membres, plutôt fortunés, les Shriners sont très connus aux états-unis pour leurs parades flamboyantes et leur œuvre caritative. Ils entretiennent en effet 22 hôpitaux pour enfants soignant gratuitement sans condition d'admission. Le fez et le cordon sont absolument conformes à la vérité.Le chant du serment au début est le" Auld lang syne" de Robert Burns, Maçon Ecossais éminent dont le titre (en gaélique) ne veut pas dire "le chant du vieux pays" mais "en souvenir du temps passé". La chaîne d'union bras croisés et balancée est typique de la Maçonnerie américaine. Enfin le titre "Sons of desert" fait clairement allusion aux shriners. Pour conclure, heureuse Amérique où la Maçonnerie ne se cache pas, est intégrée dans la société (qui a dit réactionnaire?) et où un Maçon ne perd pas une occasion d'afficher son appartenance, ce qui est considéré là bas comme un honneur. Bon, il y a le Tennessee, d'accord. Nobody is perfect.
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