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La Maçonne

Dis-moi pourquoi ? Les femmes et le REAA.

Astride Mandos : Dis-moi pourquoi, certains frères, en particulier ceux de la GLDF, considèrent que les femmes ne peuvent pas pratiquer le REAA ?

Ma très chère Astride, j'avais déjà entendu cette réflexion de la part de quelques frères. Jusqu'à ce que tu me poses la question, je m'étais contenté uniquement de hausser les épaules, sans me demander d'où cette idée venait.

La GLDF et ces frères, à mon avis, confondent la maçonnerie opérative et la maçonnerie spéculative. La GLDF est une obédience qui considère que la franc-maçonnerie remonte aux bâtisseurs de cathédrale, ce qui est pour beaucoup un mythe, plutôt qu'une réalité historique.

Ces frères estiment qu'une femme ne peut pas physiquement faire le travail d'un maître maçon ou de tailleur de pierre. Suite à un raccourci intellectuel, que je ne peux comprendre, ils pensent que de ce fait, les femmes sont incapables de comprendre le REAA.

En admettant que les femmes soient physiquement incapables de tailler des pierres - ce qui n'est pas le cas - la franc-maçonnerie spéculative ne consiste pas à jouer du maillet et du ciseau, mais à utiliser ses qualités humaines et intellectuelles.

Cet argument "que les femmes ne peuvent pas comprendre" a été utilisé moult fois, leur interdisant l'accès à l'apprentissage de la lecture et de l'écriture, à l'université, à certains métiers, et à de nombreuses activités. Si ce n'est pas leur intelligence qui est mis en doute, c'est leur force physique ou leur physiologie qui leur empêcherait ceci ou cela. Pour ce qui nous concerne, il a été l'argument principal voulant interdire l'initiation des femmes. La "Nature" immuable des femmes - indiscrétion, physiquement faible, intellectuellement handicapée, était le discours des francs-maçons contre l'initiation des femmes.

Oswald Wirth a synthétisé tous ces arguments, en considérant de surcroît, qu'il existe une spécificité symbolique des bâtisseurs inaccessible aux femmes. Guénon et Neudon le suivent.

Au début de l'histoire du Droit Humain, les femmes initiées étaient traitées dans les magazines maçonniques de "harpies", "viragos". Des "fausses maçonnes". Elle étaient "immorales", foulaient des pieds toute une société.

Nous sommes en 2013. Espérez que ces arguments n'existent plus relève vraisemblablement d'une utopie. Ces hommes, normalement intelligents, vivent à la même époque que nous. S'il existe des différences entre les hommes et les femmes, il n'y a pas de supériorité naturelle des hommes. L'écrire, même, me semble anachronique.

Astride Mandos : Pourtant, dans le REAA, il y a de nombreuses allusions qui ne pourrait pas convenir aux femmes.

Il faudra remonter à l'histoire du REAA et des 3 premiers degrés. Le REAA a été écrit au début du 19ème siècle. Il est vrai que certains passages sont sanglants, voir même violents. Même si cela paraît curieux qu'une femme prévoit de se couper la gorge pour quelques secrets - elle préférera le poison - le théâtre classique propose bien pire.

Le déroulement du rituel des 3 premiers degrés est identique à celui du Rite Français, d'où il vient, qui n'est pas plus inaccessible à la compréhension des femmes que le REAA.

Astride Mandos : On est bien d'accord que le REAA est basé sur une quête métaphysique (connaissance de SOI) . Il a pris aussi au fil de l'histoire un volet humaniste (rassembler ce qui est éparse) pour permettre la construction du temple. Mais alors si tout est symboles, comment séparer l'homme de la femme

Le but de la franc-maçonnerie est la quête de la Vérité, progrès de l'humanité et de soi. Dans ces termes, finalement, on y écrit ce que l'on veut, en fonction finalement de soi. L'être humain est au centre du débat. Il s'agit d'une démarche essentiellement ésotérique. Il n'y a pas possibilité de séparer les hommes et les femmes. La franc-maçonnerie est spéculative - de l'esprit -

Astride Mandos : A moins de dire qu'avec les influences de ces différentes tradition dont il s'inspire: hermétique, pythagoricienne, kabbaliste et Johanite, la femme ne peut pas être inscrite dans ces Ecoles de la pensée.

Au fait avons nous une âmes???

Donc ce n'est pas qu'il ne peut pas convenir aux femmes, mais bien ce que les hommes pensent des femmes qui les interpellent sur la possibilité que nous puissions nous élever.

Une femme peut prendre l'épée, une femme peut s'arracher le coeur, bien plus qu'un homme.

Nous portons en nous la notion de sacrifice.

Les femmes peuvent tuer. Conduire des armées. Construire des temples.

Il n'y a pas de mystère qui leur soit interdit.

Oui, les cieux se vengeront de tous les maux,
Et ne souffriront pas que le meurtre reste impuni.
Alors demeure ici, Hieronimo, et que leur volonté soit faite,
Car les mortels ne peuvent choisir leur moment.
Per scelus semper tutum est sceleribus iter
Frappe, frappe au but, là où le mal s'offre à toi,
Car les vices sont le chemin vers d'autres crimes,
Et il n'est pire résolution que de vouloir donner la mort.
Celui pour qui par la patience, atteint
Une vie paisible, terminera sa vie sereinement.
Fata si miseros juvant, habes salutem;
Fata si vitam negant, habes sepulchrum:
Si la destinée apaise tes malheurs,
Alors tu as la santé, et tu seras heureux;
Si la destinée te refuse la vie, Hieronimo,
Tu auras tout de même une tombe.
Si rien de tout cela ne t'est accordé, que ceci soit ton réconfort:
Les cieux ont recouvert celui qui n'avait pas de sépulture,
Et pour conclure, je veux venger sa mort.

La Tragédie Espagnole - Acte III, scène 13 - (1592) de Thomas Kyd

Une reprise de "Mon amie la rose" de Françoise Hardy.

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L
Raccourci encore,Tous les FF de la GLdF ne pensent pas que la femme ne peut comprendre le Reaa.<br /> Je suis ce ceux qui pensent que tout leur est accessible et mon choix d'une structure monogenre est simplement le souhait de rester dans une ambiance ou un cadre masculin sans idée de supériorité.
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L
Raccourci? Va le dire aux frères qui me l'ont &quot;expliqué&quot; et à ceux qui l'ont &quot;expliqué&quot; à cette soeur ...
A
Oula ! Ca continue donc encore ? ... et les femmes ceci et les hommes cela !!! Décidément il y en a qui ont oublié de grandir mais pas vieillir. La Franc Maçonnerie est universelle et son appellation est même du genre féminin. C'est justement ce qui nous différencie qui nous rassemble ou du moins le devrait. Je travaille au REAA et je ne vois pas ce qui ne pourrait pas convenir aux femmes, par contre je vois bien ce qui ne convient pas aux hommes, frères de surcroît, qui tiennent des positions d'un autre âge, hé bien cet âge passera... alors &quot;Haut les coeurs&quot; mes bien aimées soeurs, nous sommes soeurs et frères, non pas pour nous prendre à la gorge mais bien plutôt pour se prendre par la main.
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N
La patente est un outil de pouvoir dont on mesure<br /> Encore aujourd'hui l'utilisation <br /> C'est l'application maconnique de la question du droit d'auteur/ copyright <br /> On pourrait estimer qu'un rituel appartient a celui où ceux , voire aujourd'hui celles qui les ont écrits.Mais qui peut en hériter?<br /> Peut-être un jour la justice aura-t-elle a se pencher sur cette question...
N
La patente est un outil de pouvoir dont on mesure<br /> Encore aujourd'hui l'utilisation <br /> C'est l'application maconnique de la question du droit d'auteur/ copyright <br /> On pourrait estimer qu'un rituel appartient a celui où ceux , voire aujourd'hui celles qui les ont écrits.Mais qui peut en hériter?<br /> Peut-être un jour la justice aura-t-elle a se pencher sur cette question...
L
Je pense un peu comme toi, Ni Déesse Ni Maîtresse. Le GODF a une large part de responsabilité. Il a fermé les portes aux femmes fin du 19ème -20ème siècle, a loupé un épisode de l'histoire de la Maçonnerie et de sa transformation durant plusieurs décennies avec le DH, et ensuite avec la GLFF. Finalement remettre une patente au RF à la GLFF, en 1970, c'est un peu &quot;téléphoné&quot;. <br /> Le RF aurait été trouvé ailleurs, s'il y avait besoin; pour les femmes et obédiences. féminisées. Le GODF n'aurait pas apprécié encore cette indépendance. <br /> Ces patentes auxquelles les obédiences masculines tiennent pour assurer une filiation à un ordre ancestral, sont-elles vraiment importantes pour des obédiences comme le Droit Humain et une GLFF? N'est-ce pas aussi espérer &quot;mettre la main&quot; sur des obédiences pour lesquelles les obédiences masculines n'ont aucune participation historique dans leur fondation et développement? <br /> Ni Déesse, Ni Maîtresse - si un jour tu souhaites faire un article sur le sujet, n'hésite pas à me contacter!
N
Si l'on regarde l'histoire de la maçonnerie dans les détails on constatera que le féminisme et la rationalité ont progressé sans se croiser. Le féminisme a été porté par l'aristocratie (loges d'adoption), puis par la partie idéologiquement avancée de la néo aristocratie et de la haute bourgeoisie d'empire, à la marge du rite écossais amené par le suprême conseil (GLSE, nouvelles loges d'adoption, premier DH). Mais il a fallu presqu'un siècle pour que le rite français dont on peut penser ce que l'on veut, mais qui était très majoritaire au GO, soit concédé à des SS (GLMU, GLFF, puis GLMF). <br /> <br /> Reste à comprendre pourquoi les obédiences féminisées comme le DH ou la GLFF ont choisi le REAA. Outre les éléments sociaux qu'il faudrait développer, c'est surtout parce qu'elles voulaient des hauts grades et que le GO avait enterré les siens à la fin de l'Empire, avant de les réveiller encore plus tard que la patente donnée aux femmes, dans les années 1990.<br /> <br /> C'est donc historiquement le GO qui dans sa lenteur à évoluer structurellement, porte la responsabilité non seulement de l'écossisation massive des SS, mais aussi d'une partie de ses propres troupes.<br /> <br /> Tout s'est joué dans une lutte de pouvoir et même de classes à la fin de l'empire.<br /> <br /> Amen
N
Cette affaire de REAA au féminin, mixte ou non, relève d'un joli paradoxe.<br /> En effet les obédiences masculines ont historiquement refusé de reconnaître celles auxquelles les rituels avaient été donnés sous le manteau <br /> Puis après lavoir procédé à cette reconnaissance du bout des lèvres, refusé les visites des SS, alors que les obédiences qui œuvrent majoritairement au rite français s'avéraient plus ouvertes.<br /> D'autre part, de fait, le rite écossais a, jusqu'aux années 1970, été assigné aux femmes par les hommes, même ceux qui le faisaient de loin (DH, GLFF). Si l'on considère que le REAA est plus spiritualiste que le RF en moyenne, eh bien les femmes ont été enfermées dans ce cadre pendant des décennies et longtemps interdites de rationalité ou, plus largement de choix.<br /> Historiquement, la question a donc été: une femme a-t-elle droit de travailler au rite français?
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L
MTCS Ni Déesse ni Maîtresse, Tout d'abord, ne change rien à ton pseudo. <br /> J'aime beaucoup ton commentaire parce qu'il apporte plusieurs idées nouvelles qui mériteraient d'être développée, si tu le souhaites : <br /> Mes premières remarques sont celles-ci : <br /> les femmes n'auraient pas choisi leur rituel. Pour l'histoire du Droit Humain, sûrement. Georges Martin et Maria Deraismes étaient d'un féminisme plutôt modéré (contre le droit de vote des femmes par exemple). Le REAA offrait plusieurs garanties « morales ». Le RF pourrait être considéré comme originel (et donc impossible à communiquer aux femmes). <br /> La GLSE n°2 (1902-1911, mixte) était composée de sœurs et de frères d'un féminisme plus radical. Ainsi, est-ce que le REAA était un choix « d'enfermer la femme » ou plutôt le rituel de circonstance ? Le GODF (et donc le RF) était considéré comme bourgeois et conservateur. Il criait aux  « maçonnes harpies ». <br /> Le REAA est spiritualiste – mais le Droit Humain était essentiellement dans une démarche sociale lors de sa fondation et est devenu spiritualiste qu'avec Annie Besant. La GLFF, dans son histoire, ne l'est jamais devenue. Par contre le côté « morale chrétienne » du REAA pouvait rassurer (à vérifier?)<br /> La GLFF n'aurait pas choisi son rituel. Je n'en suis pas certaine non plus. Elle pratiquait le rituel d'adoption et sa décision de choisir un rituel (considéré comme un « vrai de vrai ») est, à mon avis, plus une tentative de trouver une justification logique, entre son origine (la GLSE n°2) et la pratique , sans espérer avoir un jour la patente ou la reconnaissance de la GLDF et du GODF. Le GODF pratiquait aussi le REAA, en sus du RF. La GLFF était dans les locaux d'une loge du GODF. Il leur était facile de leur communiquer une patente – au moins pour les 3 premiers degrés – De même que le DH pouvait le faire aussi. <br /> Le REAA était, déjà, considéré comme étant de « bâtisseurs de cathédrale » et impossible à communiquer aux femmes. <br /> Ne pourrait-on pas penser – plutôt – que le REAA est devenu « masculin » dès que les femmes – qu'elles travaillent en mixité ou qu'elles travaillent entre elles – ont voulu se l'accaparer, ouvrir une démarche qui leur soit propre ? (idée aussi à travailler). <br /> <br /> Si tu veux développer et partager ton idée, la rubrique de « sœur à soeur » est là pour cela. Je te remercie de ton apport,
L
J'ai supprimé un message après concertation avec son auteur qui affichait trop clairement son identité.
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F
Bonjour,<br /> Si le sujet est &quot;l'initiation feminine est elle differente de l'initiation masculine&quot; c'est une question passionante qui merite d'etre traitée avec moins d'a priori. Pas besoin de stigmatiser la moitié des frères de ce pays pour faire valoir que les femmes ont les memes qualités et les memes potentiels spirituels que les hommes seuls les abrutis peuvent pretendre le contraire, pas la peine non plus de revendiquer la meme violence et la meme capacité a tuer son prochain. D'abord la violence n'a rien a voir avec la demarche maconnique en general ou avec le REAA en particulier ne confondons pas les legendes des grades qui sont un mythe structurant avec un exemple a suivre. Ensuite il serait plus interessant de chercher a retrouver des rituels qui correspondent a une initition feminine ou a une initiation mixte. Il a existé dans le passé des initiations specifiques séparées ou mixtes qui cohabitaient pourquoi vouloir a tout prix reduire les choix ou perdre les specificités que nous ont legués l'histoire de la pensée traditionnelle?
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L
L'histoire de la GLFF et du DH est bien connue. Le DH pratique le REAA depuis 120 ans. La GLFF pratique ce rituel depuis 1958. La patente, que relate Bernie dans son commentaire, a été remise en 2006. Ces quelques dates parlent pour elles. <br /> Cet article est une question que pose une soeur suite à des commentaires qui lui ont été faitses. De mon côté, comme je le mentionne, j'ai entendu ces mêmes propos. Inutile de les nier. De se taire. De les évacuer d'un &quot;cet article ne dit que des bêtises&quot; comme Pollop le fait - sans d'ailleurs expliquer où se trouve ladite bêtise. <br /> Ces frères savent encore ce qu'ils disent (merci pour eux) et ce qu'ils pensent. Ce ne sont pas des idiots, ni des incultes. Ils sont initier dans des loges et y travaillent. Ils ont parfaitement le droit de réponse sur ce blog (ou sur leurs blogs). <br /> Je suis en droit, comme beaucoup de femmes et de soeurs peuvent l'être, de tenter de comprendre - et de ne pas être d'accord avec eux pour des raisons évidentes qu'il me semble avoir expliqué assez longuement dans cet article.
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L
Je sais... Un autre &quot;truc&quot;, Bernie. Mais on ne comprends pas quoi.
B
Sur la position de la GL vis à vis des femmes en général, ce n'est pas une question de non- mixité, me semble-t-il puisque la GLFF qui est &quot; non mixte &quot; n'a pas la même vis à vis des hommes . C'est &quot; autre chose&quot; qui ne semble pas prêt de s'arranger compte tenu des derniers événements...
B
Sur la position de la GL vis à vis des femmes en général, ce n'est pas une question de non- mixité, me semble-t-il puisque la GLFF qui est &quot; non mixte &quot; n'a pas la même vis à vis des hommes . C'est &quot; autre chose&quot; qui ne semble pas prêt de s'arranger compte tenu des derniers événements...
L
Bonsoir Bernie. La patente aurait été payée et jamais remise par la GLDF...<br /> Pourquoi le REAA? parce que c'était une question touchant Astride (des commentaires qui l'avaient &quot;surprises&quot;) et que d'autres soeurs ont sûrement entendu. <br /> Je trouvais cette question intéressante car &quot;très vie d'une soeur&quot; - c'est-à-dire concrète qu'une apprentie peut poser à son surveillant, par exemple - et aussi qu'une profane peut entendre! <br /> <br /> Pour la GLDF: elle reconnait les obédiences féminines et mixtes officiellement - tout aussi officiellement, elle considère que les femmes sont initiables. Leur seul problème est que, du fait d'une &quot;non-mixité&quot; assumée, ils ne reçoivent pas de femmes dans leurs loges. Il y a des frères (de la GLDF) qui considèrent que la femme n'est pas initiable - pas tous - mais ce n'est pas la position de leur obédience.
B
Petite précision la patente à été remise officiellement de manière tardive car la GM Marie-Françoise Blanchet s'est aperçue que la remise &quot;matérielle&quot; n'avait jamais été effectuée. Mais je reviens sur mon premier commentaire et repose la question : pourquoi ne parler que du RE2A ? La position officielle de la GL ( mais sans doute pas de tous ses membres...) est que la femme n'est pas &quot;initiable&quot; .
P
Que de stigmatisations et de bêtises volontaires dans cet article<br /> L'histoire de la Grande Loge Féminine de France pratiquant le REAA est pourtant bien connue.
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L
Bonjour Martine, pouvez-vous éclairer votre commentaire?
M
c est d ailleurs bien ce que j ai dit a la web master. GLFF depuis 1975 et formée par Gisèle Faivre, qui n était par n 'importe qui tout de même, c est bien les memes propos qui m ont été enseignés par elle et d autres grandes. Certaines sont encore en vie, et je vous conseille de chercher a les rencontrer dont notre grand Commandeur a vie<br /> et de ne pas douter de celles qui ont vécu des choses passionnantes. Parce que le rite d adoption, et c est mon point de vue, ne nous permettait pas de nous épanouir.
B
Ne pas oublier que c'est la GLDF qui (pour se débarrasser d'elles et de leurs Loges d'adoption, disent les mauvaises langues ) a donné la &quot;patente &quot; du RE2A aux femmes de la GLFF....
B
Pas plus le REAA que le reste. Il me semble qu'il s'agit plus d'une position dogmatique que d'un raisonnement &quot;raisonnable&quot; et puis ...et puis... N'y a t il pas cette soif de reconnaissance par les Anglais quelque part en sous-marin?
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