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La Maçonne

Franc-maçonnerie : des sujets symboliques aux sociétaux.

La rentrée est passée. Vous êtes nombreuses et nombreux à préparer avec minutie vos sujets et à vous interroger : symboliques ou sociétaux?

Dans le fond, vous faites ce que vous voulez. Oui, c'est cela la franc-maçonnerie : faire ce que l'on veut, être libre et donc de choisir toute seule et tout seul, comme des grandes filles et des grands garçons, (mais pour eux, on y reviendra), vos sujets de réflexion et donc vos planches . Pas d'obligation, donc. Sauf dans les obédiences et les loges qui refusent – quitte à s'arracher un bras et autre chose– tous les sujets sur des faits de société. Sauf pour les frères et les sœurs qui hurlent au scandale lorsqu'ils voient l'un d'entre eux se pointer, mine de rien, derrière un titre ambigue.

Les obédiences libérales, en général, ne posent aucun interdit.

Droit Humain, Grande Loge Mixte de France, Grande Loge Mixte Universeille : les unes et les autres se sont fondées au cœur de mouvements contestataires et féministes. La Grande Loge Féminine de France, dès sa première seconde d'existence, alors qu'elle s'appelait Union Maçonnique Féminine de France, posait lses jalons après la 2nde Guerre Mondiale. Ses deux questions à l'étude des loges, dès 1945, étaient sur l'un sur la paix et le rôle des femmes, et l'autre sur la réforme de l'école laïque (à croire que l'école est une entité éternellement à réformer).

Un peu d'histoire.

Le Droit Humain, pour ce qui le concerne, est une obédience qui trouve son origine autant dans la Grande Loge Symbolique Ecossaise qui, comme dans sa forme et son fond, s'opposait à toute forme de symbolisme. Des loges ont même envoyé une pétition pour que des symboles maçonniques soient installées dans leurs temples ! On n'imagine même pas cela à notre époque ! Parmi les signataires se trouvaient : Papus, Oswald Wirth, … Les ennuis ont, alors, commencé. Mais revenons à notre sujet principal : pourquoi cet interdit ?

Le seul moyen, afin de ne pas se mettre à dos toute l'aristocratie et plus tard la grande bourgeoisie, était d'interdire – sinon de contrôler – ces loges. Ce fut, donc, un certain Joseph Bonaparte qui fut nommé par Napoléon comme Grand Maître du GODF.

C'est aussi grâce à Roëttiers de Montaleau que l'épuration des antibonapartistes fut possible. On peut aussi constater que les nombreux « hommes » de Napoléon (Cambacérès, Louis Napoléon, Joachim Murat, Amable, ..) ont pris les fonctions clefs au sein de l'obédience. La police secrète s'est infiltrée grâce à Fouché, les délations tombent comme des guillotines ou des serrures que l'on ferme. Des loges militaires fleurissent, et d'autres portent des noms évocateurs comme « Saint-Napoléon », « la Française de Saint-Napoléon » … C'est ce même Roëttiers de Montaleau qui, quelques années plus tard, présida la cérémonie funèbre organisée par le GODF de Louis XVIII, qualifié « d'auguste protecteur de l'ordre ». Les républicains n'avaient qu'à se faire oublier. Pour être contestataire, il ne fallait pas être franc-maçon, si l'on tenait à sa vie.

Ceci signifie, tout simplement, que c'est le pouvoir politique qui a infiltré la franc-maçonnerie, bien plus sûrement que le contraire. Les potentats ont un point commun : tous détestent la contestation sous toutes ses formes, les idées qui les mettent en cause … qu'elles soient politiques ou religieuses. Le « ni politique, ni religieux » a été maintenue, préservée avec la diligence maniaque des obédiences.

Si vous voulez mon avis – mais vous êtes là pour l'avoir même si vous ne le voulez pas – maintenir cet interdit de sujets n'est pas à mes yeux le symbole d'une grande évolution des obédiences. Il n'y a pas de quoi non plus d'être fier d'une telle tradition.

C'est assez malheureux d'ailleurs de savoir que de nos jours plusieurs millions d'hommes se réunissent pour ne rien contester, pour ne réfléchir à rien sur leur société, ni même une guerre, ni même une injustice, ni même la misère ne les tourmentent. Il y a tant de crimes qui n'ont jamais été dénoncés ces trois derniers siècles par les francs-maçons. Devons-nous continuer ainsi?

Aujourd'hui, la vie en rose ?

Si je dis que les obédiences libérales et adogmatiques, que j'ai présenté cet été dans un article, n'interdisent aucun sujet de planches. C'est, bien sûr, sur le papier ou du moins l'écran de votre ordinateur. La crise de la GLDF, depuis la Déclaration de Bâle de juin 2012, a fait ressortir une autre réalité, une argumentation sortie de l'obscurité. Travailler sur des sujets qui nous touchent n'est pas de la franc-maçonnerie. En effet, au sein même des obédiences libérales et adogmatiques, il existe soit des loges entières soit des frères ou des sœurs qui souhaiteraient voir interdire cette fâcheuse manie qui est de réfléchir. Pour la GLDF, c'est purement politique : ressembler aux obédiences dites « régulières », se faire reconnaître ou entrer en concurrence avec elles. La GLDF a cependant acquis, dans son histoire, ayant la même origine que le Droit Humain : la Grande Loge Symbolique Ecossaise, la contestation.

Mis à part les gros sabots de la GLDF, d'autres arguments plus subtils existent et méritent d'être signalé. Des francs-maçons et des francs-maçonnes ne savent plus rien de leur rituel, se contentant d'en faire une sorte de cérémonie ennuyeuse. Vous vous êtes bien amusée de «Chiboulette » ou du « Chiffre 5 » de la loge Dionysos. Ce ne sont pas les incapacités de la secrétaire qui sont mis en cause, mas le m'enfoutisme de toute une loge qui est pointée du doigt. Cette secrétaire est aujourd'hui 2nde surveillante. Autant dire qu'elle est la meilleure symboliste que cette loge de la GLFF compte.

Ces sœurs et ces frères qui militent contre les sujets dits sociétaux déplorent que les bases, la méthode maçonnique ne sont pas acquises pour de nombreux maçons. La loge Dionysos de la Grande Loge Féminine de France en est un exemple vivant. Devant un tel exemple, on peut effectivement parler d'échec initiatique, de club-service ou de temple de la médiocrité.

Malheureusement, on ne peut que donner raison aux détracteurs des « sujets sociétaux » devant un tel exemple. Pourtant, la loge Dionysos ne traite aucun sujets sociétaux. Elle est une de ces loges de la GLFF qui se dit « symboliste », méprisant les sœurs du Rite Français qu'elles jugent « trop sociétales ». En étant une, cela m'a été reprochée 10 000 fois !

Si une sœur qui souhaite une authenticité dans sa démarche ne peut rester dans une telle loge, (de toute manière, toutes ont été poussées à la démission ou sont virées), quand elle ne quitte pas la GLFF, c'est l'ostracisme et l'obscurantisme, autre revers de la médaille, qui est à souligner.

Traiter de sujets sociétaux n'est nullement synonyme de sombrer dans la médiocrité, dans l'ignorance, ou encore maltraités les symboles jusque dans leurs orthographes. Traiter ou faire croire qu'être uniquement dans « l'initiatique », le « symbolique » peut conduire à une insignifiance bien pire encore. La loge Dionysos en est le parfait exemple. Pour le coup, on a presque envie de traiter d'un sujet social pour l'expliquer.

C'est l'ignorance et l'inculture qui est à combattre, quoique l'on préfère faire comme sujets de planche. C'est le dogmatisme qui doit être détruit en franc-maçonnerie. C'est ce que signifie au sein de nos obédiences et loges, ce débat entre les sujets "sociétaux" et "symbolique".

Le secret de la planche.

La question quant à la nécessité ou l'intérêt de nos sujets n'est pas aussi brûlante pour nous, pour nos obédiences, que pour d'autres. Il s'agit d'appliquer concrètement ce que la méthode symbolique nous apprends : c'est-à-dire une pensée qui s'ouvre sur notre créativité, intuition, logique, et nos savoirs …

Tout ce que nous avons – là endormi quelque part – que le symbolisme éveille, tout en ayant un regard sans cesse rajeuni sur le monde qui nous entoure. La franc-maçonnerie n'est pas le lieu pour faire un article de journal grand public, un pamphlet sur la misère qui s'abat sur le monde, ou un programme digne d'un parti politique. Nous savons le faire ailleurs – et d'autres le feraient mieux que nous - mais bien d'examiner toute la symbolique de l'article, du pamphlet ou du programme politique … et bien plus encore.

Tout l'art est là - et je ne vous ferais pas l'affront de l'appeler "royal". Chaque mot devient un symbole vivant, une poètique qui résonne & raisonne, une liberté à troquer contre une autre. Les sujets sur notre société, sur celles d'autres continents, sur celles encore passées, sur celles encore que nous imaginons, sont autant d'exercices qui nous permettent d'évoluer, de grandir, d'être neuves.

Nous nous offrons le droit de revendiquer, de manifester, de combattre la barbarie, l'injustice et toutes les horreurs que nous réservent notre monde … sans nous plier aux réchauffés, dictats que l'on nous ressert sur ce qu'est l'authentique, la véritable maçonnerie et nos devoirs. Sans nous plier, voir la remettant en cause, à une opinion, figée et prisonnière de ces propres préjugés. Le but n'est pas de faire "la leçon", expliquer "aux politiques" (qui s'en fichent), mais aux autres, aux passants, aux curieux et parfois, à nous même lorsque nous nous trouvons devant notre page blanche, ce qu'est l'humanité.

Là, au milieu de tout cela – parce que c'est la loi des nombres – et nous en connaissons aussi le symbole – surgira quelque chose. Nous ne savons pas exactement quoi … mais est-ce cela l'important ?

Franc-maçonnerie : des sujets symboliques aux sociétaux.

Ce petit plus musical de dernière minute est une proposition de Joël Jacques, auteur de l'excellent livre "les pas des francs-maçons". Un livre qui selon moi réussit avec brio d'être à la fois symbolique et parler de l'humanité. Une lecture que je vous conseille. (article "les pas des francs-maçons de Joël Jacques)

Publié la première fois en septembre 2015.

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J
Intéressant
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B
Encore un article bien cousu, ma S:. !<br /> Un maçon libre dans une loge Libre doit pouvoir traiter de tout les sujets ! Mais les auteurs des sujets doivent pouvoir ce dire: qu'est-ce que mon sujet apporte à la Franc-Maçonnerie !<br /> Je ne suis pas poète, même si j'aime la poésie, et je connais bien des Maç:. qui ont cette petite touche qui fait vibre le coeur d'un vieux maç:. tel que moi !<br /> Ma S:. continues le bon combat, celle qu'un Maç:. soit libre dans une L:. libre !
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J
Brumaire/La Maçonne, il ne me semble pas avoir dit autre chose que cela. Travailler en maçon en Loge et utiliser à l'extérieur ce dont on s'est enrichi en Tenue, à la lumière d'un rite, des symboles. Vivre en FM ce n'est pas venir discutailler deux soirs par mois, pantoufler avec nos costumes de croque mort, nos chasubles noires, nos cordons et sautoirs bariolés, parler aux ras des pâquerettes de politique, de dieu ou du sexe des anges, toutes discussions de café de commerce ou de délire de web.<br /> Bon, après, ce que j'en dis...<br /> PS: je suis "consorts" à la GLDF et Brumaire tu supposes mal ! Mais c'est normal tant que tu n'auras pas la possibilité de nous visiter, hélas, trois fois hélas. Mais ça bouge sur les lignes, patience.....
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B
Vous vous souvenez sans doute de ce passage du Rouge & le Noir:"Pourvu qu'on ne plaisantât ni de Dieu ni des prêtres, ni du roi......pourvu surtout qu'on ne parlât jamais politique, on pouvait librement raisonner de tout''...<br /> On ne demande pas aux FF et SS de disserter savamment sur des sujets où seuls certains spécialistes sont au top, mais d'utiliser la méthode maçonnique, nos outils et symboles pour aborder les problèmes de la vie actuelle et les partager avec les autres; au cas où on trouverait une solution. Ce qui veut dire aussi que le symbolisme doit être sérieusement et personnellement travaillé. Du moins, c'est comme ça que je conçois la vie en loge, et pas comme je suppose -vu que je suis une femme- qu'on travaille à la GLNF et consorts.
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L
Brumaire, <br /> Tu as répondu à Jean-Yves.... en effet, ce n'est pas travailler en spécialistes mais en maçons.
J
Je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi Lilith (quoique), une fois n'est pas coutume... Chacun entre en maçonnerie pour des raisons divers, et une fois en Loge, il découvre la réalité bien différente souvent de ce qu'il avait imaginé. Il reste ou il s'en va, change parfois d'Obd.°. , c'est selon. A titre personnel, je suis venu chercher un idéal de fraternité, à l'aveugle... si j'ose dire. Au fil des années, j'ai mis un contenu, un sens pragmatique et pratique que je tente d'exercer à l'extérieur de la Loge. Pour rappel symbolique, une loge est un lieu ou l'on évoque le chantier en cours. Comment construire l'édifice devant nous. L'édifice à construire c'est nous seul, avec et au milieu des autres, mais seul. Là est le vrai chantier. Je n'imagine pas un seul instant construire sans ma moitié d'orange (ou de citron c'est selon). Et bien là aussi ça bouge un peu. Dans mon Obd.°., la GLDF, il est aujourd'hui possible de recevoir (c'est une grande première annoncés par notre nouveau TVGM.°. P. Charuel) nos soeurs en tenue. Cela sera évidemment à la discrétion du Véné en place. Mais bon, si je suis un jour Véné de ma Loge, personne ne m'interdira de recevoir mes petites et grandes soeurs qui voudront se joindre à nous, tout au long de l'année maçonnique. On philosophe en Loge, on parle de la Tradition qui est "un phare mais non un port" et nous avançons vers une société plus juste, plus humaine, l'homme au centre de tout ce qu'il reste à construire, à commencer par nous même. Alors débat de société, de religion, de politique, c'est comme on veut en Maçonnerie, chaque Obd.°. a sa propre "philosophie" en la matière, mais toutes ont ou doivent avoir le même respect entres elles. Et chacun peut "voyager" et c'est bien d'ailleurs ce que à titre personnel je fais régulièrement avec un bonheur toujours renouvelé de croiser des femmes et des hommes chercheurs, cherchants et parfois qui trouvent... provisoirement....
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A
Grande nouvelle !<br /> Sera-t-elle confirmée ?<br /> Je n'aurais donc plu lorsque nous recevons des invitations GLDF à préciser "sans les FM de sexe féminin" !<br /> Bravo en tout cas !
L
Là, Jean-Yves ... tu m'annonces un scoop. <br /> La GLDF qui accepte de recevoir des soeurs en tenue ... diantre! Il va pleuvoir des grenouilles.
A
Sujet solide et bien traité, même si c'est un peu tendancieux (mais c'est aussi ce qui en fait le charme).<br /> En effet GLFF est par définition sexiste, mêmme si l'intensité de son sexisme n'atteint pas le paroxisme d'une GLNF ou la position embrouillée de GLDF.<br /> Mais bon si je comprends ton idée, ce sexisme pro-feminin équilibrerait un sexisme pro-masculin et agirait ainsi dans le sens d'abandon du sexisme.<br /> Pardonnes-moi de trouver çà un peu curieux.<br /> Evidemment mon reproche-rangaine classique sur une FM qui se structurerait au travers de positions obedentielles ... <br /> Ce qui, helas est une réalité due à la perversion de la maçonnerie poussant les adherents à ces groupes facultatifs à une soumission contre-maçonnique à des orientations définies au somme de ces groupes.<br /> On ne repetera jamais assez que l' "obedience" est une organisation FACULTATIVE de la FM, ISSUE DE LA VOLONTE DES LOGES qui ne doit avor que des missions UTILITAIRES confiées par la majorité des loges.<br /> Alors, si une loge veut traiter de sujets sociétaux, l'obedience n'a RIEN A DIRE, le patron d'une loge est le(la) VM. De même sur qui entre en loge. (Les fondements tricentenaires de la FM).<br /> Par contre, la controverse politique et religieuse est interdite depuis le début en FM !<br /> <br /> Comme on le constate les GLNF-GLAMF ont comme passion principale les sujets "religieux", le GM de la GLNF étant carrément dans une vocation gourouesque de "ultime lien avec Dieu".. n'a rien à dire sur les attentats, la democracie, la liberté d'expression ... et beaucoup à dire sur le judaisme, la chretienté, etc ...<br /> Mais là encore qu'un GM "pète les plombs" ainsi, ca peut arriver. Ce qui est plus grave c'est que des FREE-masons continuent à se soumettre aveuglément à de telles derives.<br /> <br /> La FM est en effet face de lourds enjeux à apporter, pour ceux qui y croient encore, notre contribution au travers de nos valeurs à des postions dignes comme celles qui on contribué à la constitution américaine, aux droits de l'homme, aux droits des femmes, au respect de la vie.<br /> Il faudra en effet nous débarasser de gangues obedentielles pour que justement, nous ayons des porte-parole communs pour nous representer là où se decident les lois (federales en particulier).<br /> Schengen, la police fédérale, les droits sociaux, la politique etrangere, l'immigration, la force economique, l'identité ... faut pas(plus) se tromper ! C'est au niveau FEDERAL.<br /> N'avons-nous rien à apporter, nous FM sur ces sujets ?
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L
"C'est assez malheureux d'ailleurs de savoir que de nos jours plusieurs millions d'hommes se réunissent pour ne rien contester, pour ne réfléchir à rien sur leur société, ni même une guerre, ni même une injustice, ni même la misère ne les tourmentent. Il y a tant de crimes qui n'ont jamais été dénoncés ces trois derniers siècles par les francs-maçons. Devons-nous continuer ainsi?"<br /> <br /> Alors... prenez des sujets symboliques, vous aurez l'impression de participer au grand oeuvre initiatique sans faire de politique ni parler de religion... sans parler de rien en somme, sans même vous rendre compte qu'à force d'en dénaturer le sens, on prive la société de son évolution, on prive l'homme de sa nature et on le laisse se transformer en animal.
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A
Petit exemple d'un monde à l'envers :<br /> J'ai écouté une conference magnifique d'un grand specialiste de l'"euthanasie" en loge au GO. Magnifique d'humanisme, pragmatisme, ponderation, nuances ... mais rien de maçonnique. Cette conference était tout à fait adapté à d'autres tribunes et donc, le GO devenait une tribune à des idées extérieures. <br /> Ne sommes-nous pas dans l'inversion totale ?<br /> N'avons-nous pas sur ce sujet de la mort si creusé par la FM, un éclairage à apporter aux législateurs travaillant sur la fin de vie ? <br /> Nous ne sommes plus là pour produire, mais consommer !(j'exagère, mais c'est l'diée).
L
Ah! Lucker! Comme je suis d'accord avec toi! Et j'ajoute même : et quel gâchis!