14 Septembre 2016
Lorsque je parle ici d'extrême-droite, j'y inclus bien-sûr le Front National et tout parti nationaliste, mais aussi cette « droite décomplexée » appelée aussi « la droite de la droite » ou « droite populaire », tout aussi extrémiste et dangereuse que le Front National.
L'incompatibilité avec la franc-maçonnerie devrait être acquise et comprise par tous les francs-maçons du fait d'une opposition manifeste avec les valeurs de la franc-maçonnerie. Pourtant, au fil des dernières années, force est de constater que des frères comme des sœurs expriment, sans plus se cacher, des opinions nauséabondes faisant revivre les pires heures de notre histoire. Avec 10 à 15% d'électeurs du Front National et un recrutement guère vigilant en franc-maçonnerie depuis plusieurs décennies, toutes obédiences confondues, il apparaît que cette « extrême-droitisation » ou cette « droitisation décomplexée » - ce qui revient au même comme je vais l'expliquer dans cet article - devient une maladie à combattre au sein de nos loges et obédiences.
Le GODF – je souhaite lui rendre cet hommage – est une des rares obédiences aujourd'hui qui assume cette incompatibilité avec nos valeurs. La Fédération Française du Droit Humain a de son côté un article de ses statuts qui précise l'incompatibilité de la démarche au Droit Humain avec tout mouvement, parti qui prônerait l'exclusion, le racisme ... L'appartenance à de tel mouvement conduit au refus d'admission et/ou à l'exclusion du Droit Humain.
La GLFF est toujours à en faire la promesse, sans que jamais un texte soit présenté au convent. La GLDF – qui officiellement ne parle ni de politique, ni de religion mais qui organise des conférences sur des thématiques religieuses et politiques – fait semblant que cela ne la concerne pas, reprenant la droite ligne (sans jeu de mot) Stifanienne.
Ainsi, Philippe Charuel (GM de la GLDF) expliquait en décembre 2015 que : "Le Grand Orient a plus d'adhérents que nous, nous ne courons pas derrière pour le dépasser. Sur le plan politique, il est exact que le Grand Orient est plutôt marqué à gauche et la Grande Loge de France plutôt à droite." Pour ajouter, plus loin : "J'appartiens en effet à une droite républicaine, de sensibilité gaulliste." En refusant d'indiquer l'incompatibilité avec le front national ... c'est-à-dire avec l'extrême-droite, considérant que ce n'était pas son job de grand maître. (Charuel dans Sud-Ouest)
La GLAMF et la GLNF, qui non seulement n'aborde ni en loge, ni en conférence des questions politiques et sociales, estiment que cette droitisation n'est pas une question, voir un problème.
Le meilleur exemple est le blog tenu par un frère de la GLAMF « Feu DuSoleil », déjà connu pour ses injures et imprécations du temps de la fameuse CMF, qui devient le repère d’extrémistes de droite, dont certains commentateurs espèrent l'élection de Marine Le Pen. Au moins, là - ce n'est pas louvoyer.
Ces 15 dernières années, le paysage politique a considérablement évolué. On note une certaine porosité des opinions d'extrême-droite dans des propos, qui, il y a peu; étaient encore considérés comme inacceptables. Cette évolution nécessite non seulement la vigilance de tous, mais aussi une analyse.
Le vote extrême-droite est un vote ethnocentrique – pour ne pas dire « raciste » - qui suivant la formule ravivée par Nadine Morano considère que « la France est un pays de race blanche » ou pour Nicolas Sarkozy «un pays chrétien » - éliminant de facto juifs, musulmans, bouddhistes, … suivant la même dialectique que Hitler et sa race aryenne.
L'immigration est détentrice de tous les maux nationaux qu'ils soient économiques, sociaux ou culturels. L'étude de Nonna Mayer, chercheuse au CNRS, montre que plus un électeur attache d'importance à l'immigration, plus il votera extrême-droite.
L'électorat d'extrême-droite est, historiquement, considéré comme populaire, soit une population essentiellement masculine, peu diplômée. Cependant, souligne Nonna Mayer, il n'y a pas d'électeurs-types, les préoccupations varient d'une campagne présidentielle à l'autre. Les électeurs appelé « lepéno-sarkozistes » de 2007 avaient les mêmes préoccupations que les électeurs d'extrême-droite traditionnels: immigration, sentiment d'insécurité, rétablissement de la peine de mort (ce que promet Marine Le Pen dans son programme).
Néanmoins, cet électorat de Sarkozy est plus âgé, plus féminin, plus catholiques et plus diplômés que celui du front national. Nicolas Sarkozy est pour cet électorat un individu emblématique, moins inquiétant que le front national, surfant allègrement sur la valeur « travail ». Hormis ce qui fut appelé un « siphonnage » de l'électorat du Front National, l'électorat de Nicolas Sarkozy s'est élargi aux classes populaires traditionnellement acquises à la gauche, mais est surtout âgé avec un surnombre des plus de 50 ans (45% des plus de 65 ans ont voté pour lui). C'est un électorat de « vieux ». Il s'agit d'une première similitude avec la composition sociale des loges maçonniques. Avec ses 60 ans d'âge moyen, il y a donc de forte probabilité d'y trouver, derrière un pilier, un fan-club.
Nicolas Sarkozy, durant son mandat de président de la République de 2007 à 2012, a maintenu la barre à l'extrême-droite qui se déclinait déjà lors de sa campagne.
Le « Sarkozisme », c'est surtout la stratégie « Buissonière ». Patrick Buisson fut le conseiller de l'ombre, qui a permis l'élection de 2007 à la plus haute fonction de l'état, de ce nouveau leader nationaliste que nous voyons émergé depuis fin août battant la campagne contre l'immigration. Né en 49, co-auteur de « l'album Le Pen », Buisson fut le rédacteur en chef du journal d'extrême-droite « Minute », puis de Crapouillot, devint celui de « Valeurs Actuelles » durant quelques années, pour passer sur LC1.
Il passa au service de Sarkozy dans l'idée d'un rassemblement de l'UMP avec l'extrême-droite (pour 1,5 millions d'Euros de rémunération annuelle!).
Lors de la campagne de 2012, les propositions de Sarkozy furent essentiellement orientées sur les préoccupations identitaires normalement dévolues à l'extrême-droite : déchéance de nationalité, révision des prestations sociales pour les étrangers et les clandestins, les Roms, aidé en cela avec la politique intérieure menée par Claude Guéant dès 2011 (multiplication des expulsions, « immigration scolaire », etc).
Nicolas Sarkozy développa aussi à l'instar de ses collègues-opposants de l'extrême-droite une rhétorique sur « l'insécurité », c'est-à-dire cette peur de la violence, qui lui aura réussi depuis 2002, tout autant qu'identitaire (l'identité nationale).
Les relations Buisson/Sarkozy sont – comment dire? – pour le moins spéciales. Buisson n'a que enregistré les conversations de Sarkozy à l'insu de ce dernier. Avoir des « mauvaises relations » doit être un euphémisme dans la vie de Sarkozy.
Le système Nicolas Sarkozy fut aussi de s'entourer « d'amis » dont les origines politiques se situent à la « droite de la droite », voir même qui ont flirté avec l'extrême-droite. Claude Guéant, directeur de campagne de 2007, ancien-préfet, surnommé « le cardinal », devint effectivement Ministre de l'Intérieur, en choquant plus d'un en considérant que « toutes les civilisations ne se valent pas ».
Gérard Longuet fut, quant à lui, fondateur d'un mouvement d'extrême-droite « Occident », avec Alain Madelin, en 1967. En 1968, il fut inculpé à 1000 € d'amende pour des actes de violence dont une des victimes fut laissée dans le coma. Les autres condamnés, parmi les 12, sont Alain Madelin, Alain Robert et Patrick Devedjan. Le groupe « Occident » fut dissous par décision ministérielle. Il rejoignit le GUD, puis « Ordre Nouveau » pour finalement rejoindre le Front National, pour qui il rédige un programme économique. Il devint assez « normalement » un ministre de Sarkozy, représentant d'une droite-dure au sein de l'UMP.
Pour les autres copains de « cassage de gueule » de Longuet, Alain Madelin, condamné à la prison préventive, rejoignit dès 1968, Valéry Giscard d'Estain, bien qu'il avait un lourd passé à l'extrême-droite dès ses 16 ans. En 1963, avant son épisode «Occident », il faisait parti de la Fédération des Etudiants Nationalistes. Le passé de Patrick Devidjan est tout autant douteux, condamné à un an de prison pour « vol et détention d'armes », il participa à l'opération « Occident », fut condamné avec ses amis. Il fut accusé par ces derniers de les avoir balancés et subit « l'épreuve de la baignoire » (des individus pleins de charme!) et fut expulsé du groupuscule. Il devint, par la suite, un proche de Raymond Aron, ami de Sartre.
Tout ceci pour expliquer que l'on ne peut s'étonner de l'extrême-droitisation de Nicolas Sarkozy, qui s'est affirmé tout au long de son mandat de Président de la République, pour trouver une apothéose aujourd'hui. Apothéose certainement parce qu'elle est assumée.
Suivant René Rémond, (in les Droites en France), il existe trois "droites" : une droite légitimiste (contre-révolutionnaire), une droite orléaniste (droite libérale) et une droite bonapartiste (droite césarienne). L'extrême-droite est, suivant la plupart des auteurs, une droite légitimiste, naissant à la Révolution. Il s'agit des contre-révolutionnaire attaché à l'Ancien Régime et refusant les innovations sociales comme les « Droits de l'Homme ». L'orléanisme est, tout aussi, d'origine monarchique mais assume l'héritage du siècle des Lumières. La droite Bonapartiste se distingue par la mise en avant d'un « homme » détenteur du pouvoir. Pour René Rémond, Vichy se rattache à la droite légitimiste, Giscard de la droite Orléaniste et De Gaulle, Bonapartiste.
« Reste que la meilleure définition de la gauche française, c'est d'être le parti de la Révolution, ce qui l'a souvent dispensée depuis d'être un parti révolutionnaire... Ses lettres de créance, ses audaces, ses violences lui viennent du passé. C'est un parti d'héritiers, et en somme le vrai parti légitimiste de notre société politique. » constatait Jacques Juliard (voir source).
A contrario, l'extrême-droite est désireux de revenir à l'ordre ancien …Elle est le résultat d'un mal-être historique: la rupture entre l'Ancien Régime et la République, la Révolution de 1789.
« Le rassemblement de la droite », si important pour Buisson et Sarkozy, n'existe pas. Contrairement à ce que considère bien des personnes, il y a rien de commun entre ce que l'on appelle "la droite" et "l'extrême-droite" à part le mot "droite". Ce que confirme le classement de Rémond. Les droites orléanistes (libérales) et bonapartistes (droite autoritaire) acceptent très bien l'héritage de la Révolution.
Cette "union des droites" ne fut possible que dans des circonstances particulières, lors de dérèglements parlementaires ou dans des situations graves comme Vichy durant la deuxième guerre mondiale. Ainsi, imaginer la fin d'un système « tripartite » avec une opposition de deux blocs gauche et droite, dont l'un et l'autre s'organiserait avec ses extrêmes, est une vision naïve de la politique française. Il n'y a pas de "rassemblement" en ce qui concerne Sarkozy, qui entre en primaire contre d'autres de ses confrères ... Il est à "la droite de la droite", devenant nouveau leader de l'extrême-droite. Une droite dite "Bonapartiste" (c'est-à-dire autoritaire) qui s'est marginalisée pour appartenir à une droite contre-révolutionnaire.
De même, imaginer que l'extrême-droite s'effondrerait en 2007 revient à ignorer une de ses particularités. L'extrême-droite sait vivre en pointillé en marge des grands ensembles politiques.
Considérer cette extrême-droitisation comme partie intégrante du paysage politique français est tout autant une erreur. Elle est, bien plus sûrement, signe du dérèglement des partis politiques en général, de l'UMP- les Républicains, en particulier.
Le programme de Sarkozy est, tout bonnement, la reprise de celui de Marine Le Pen. Il ose même reprendre pour son compte la théorie conspirationniste du "grand remplacement".
Il est donc impossible de nier que cette « droite décomplexée » que représente Sarkozy a tout de l'extrême-droite, en reprenant les mêmes discours et préoccupations. La différence entre les deux est que si le Front National oriente son discours pour toucher un électorat populaire, Sarkozy, lui, préfère un électorat plus éduqué mais aussi plus âgé.
Ce développement, même s'il éclaire sur la nature des droites et de son électorat, n'explique pas pourquoi nous trouvons des francs-maçons (et maçonnes) attirés par l'extrême-droite.
Numéro spécial : " Extrême-droite et ésotérisme " - CRITICA MASONICA
Le numéro spécial de "Critica Masonica" ("Extrême-droite et ésotérisme: retour sur un couple toxique" par Stéphane François) vient de sortir. Les souscripteurs que nous remercions vivement, ...
http://criticamasonica.over-blog.com/2016/01/numero-special-extreme-droite-et-esoterisme.html
C'est Stéphane François dans le numéro spécial de janvier 2016 de Critica Masonica qui explique le mieux ce que représentent les ésotérismes d'extrême-droite et, donc, une "psychologie" de celle-ci.
L'extrême-droite a pour origine une opposition au siècle des Lumières. La « Tradition » est une de ses modalités. Concept moderne, comme le signale Stéphane François, le Traditionalisme est antimoderne : exaltation du passé, nie toute valeur à la modernité et considère l'avenir, comme d'ailleurs le présent comme une chute dans l'évolution. Les éléments de ce rejet de la modernité est, bien sûr, le rejet des "droits de l'Homme" et des systèmes démocratiques.
L'élitisme. Dès Guénon, l'ésotérisme traditionnel est destiné à une élite spirituelle, une forme d'aristocratie traditionnelle, mâtinée de valeurs chevaleresques. Pour René Guénon, les droits de l'Homme sont un nivellement par le bas. Il justifie ainsi l'inégalité entre les individus.
La religion (ou la croyance en Dieu). Peu importe les débats sur le GADLU au sein de la Franc-maçonnerie, pour les anti-modernes, « le pouvoir est d'origine divine ». C'est aussi Dieu qui le confère. Pour l'ésotérisme d'extrême-droite, en sus d'être pessimiste, le projet est (toujours en reprenant Guénon) de retrouver « la tradition primordiale ».
Le conservatisme. Il va de soi que le traditionalisme conduit au conformisme mais aussi à faire de la société un musée du patriarcat avec tous les stéréotypes sur les hommes et les femmes possibles.
Le désenchantement du monde. Si le traditionalisme rejette la modernité, il considère aussi que celle-ci est la cause de tous les maux du monde. Il considère la société actuelle comme étant un résultat d'un déclin par rapport au passé (un âge d'or) et, déclin qui ne peut que continuer sur le chemin de la modernité.
L'extrême-droite (politique) utilise les mêmes ficelles sachant les adapter. La « Tradition » devient un « état fort et autoritaire ». L'élite est, bien entendu, « blanche et chrétienne ». La place de la religion et de l'ordre religieux est loin d'être laissé de côté. On se souvient du discours de Latran de Sarkozy en 2007. On ne peut que déplorer les références au christianisme comme « origine de la civilisation » chez de nombreux extrémistes en quête d'une « identité nationale ». Dire que le traditionalisme est conservateur est un pléonasme que j'assume. Le dernier point qui, pour moi me parle, est le « désenchantement du monde ».
Qui n'a pas entendu en loge (et même à l'extérieur) des francs-maçons considérer « que c'était mieux dans le temps » et que les français étaient victimes (surtout la pôvre jeunesse!) d'une perte de repère et de référence ?
Cela ne signifie pas que l'on risque de passer du côté obscure de la force ... sauf si on cumule les autres handicaps de l'extrémiste de droite. En effet, cette vision du monde, pessimiste, traditionaliste, et même élitiste, est "facile" mais aussi présente dans nos loges et nos obédiences. On ajoute à cela une moyenne d'âge élevée, la peur de l'étranger (immigration), un niveau culturel moyen sinon bas, une laïcité mal comprise … vous avez tous les ingrédients sociaux-culturels d'une « droite décomplexée » et donc de l'extrême-droite.
Pour les psychologues, l'électeur d'extrême-droite cherche des réponses simplistes et manichéennes, une soumission à une autorité reconnue, et l'accepte de recourir à la violence contre ceux et celles qui refusent de se soumettre. Il faut faire appel même à Freud, qui considérait que "le malaise de culture" ne peut plus "entraver l’épanouissement d’une véritable pulsion d’agression et même de mort."
Pourtant l'extrême-droite est incompatible ….
La franc-maçonnerie a des principes et des valeurs de tolérance, de respect d'autrui, d'amélioration de soi et de l'Humanité, de quête de la Vérité, de la Justice … Il s'agit de valeurs positives et surtout optimistes tournées vers l'avenir. Il n'est pas considéré qu'une civilisation soit supérieure à une autre, ni même qu'une période de l'histoire soit meilleure. Le respect d'autrui conduit de facto à combattre toute forme de discrimination que ce soit pour des raisons religieuses, d'origine sociale et géographique. Il s'agit de relativisme, de savoir mesurer la complexité du monde.
Honneur, probité, et, bien sûr, amour … sont les piliers moraux de la franc-maçonnerie. L'extrême droite est la haine de l'autre, la détestation, l'envie ... Au-delà du sentiment d'appartenir à une élite, mais, bien sûr, une élite menacée par l'étranger, du sentiment de peur inhérent à cette menace imaginaire voir paranoïaque, l'électeur d'extrême-droite exprime un sentiment de frustration et d'échec. C'est d'ailleurs sur ces sentiments que jouent essentiellement les leaders d'extrême-droite : insécurité, faillite sociale, immigration et dernièrement retour au fantasme de la "guerre civile". Nicolas Sarkozy (encore lui) a même été jouer du scénario complotiste connu sous le nom "du grand remplacement" !
La modernité a pour une de ses caractéristiques : l'ouverture. La franc-maçonnerie apparaît être pour beaucoup une "fermeture au monde" - un entre-soi dans lequel on cultive un sentiment d'être déplacé, dépassé, mal intégré et surtout incapable de l'être dans le "vrai monde". L'extrême-droite est une fermeture, une séparation définitive avec la franc-maçonnerie. Rien ne permet la cohabitation entre la franc-maçonnerie et ce que l'on appelle du Sarkozisme ou du nationalisme... C'est la mort de l'initiation qui est au bout. La promesse d'une non-initiation.
La franc-maçonnerie est une promesse de vie.
Nonna Mayer, « Comment Nicolas Sarkozy a rétréci l'électorat Le Pen », Revue française de science politique 2007/3 (Vol. 57), p. 429-445. DOI 10.3917/rfsp.573.0429
Sylvie Strudel, « L'électorat de Nicolas Sarkozy : « rupture tranquille » ou syncrétisme tourmenté ? », Revue française de science politique 2007/3 (Vol. 57), p. 459-474. DOI 10.3917/rfsp.573.0459
Romain Leclercq. L'immigration et l'insecurite dans la campagne televisee de Nicolas Sarkosy. Political science. 2012.
Julliard Jacques. De l'extrémisme à droite. In: Mil neuf cent, n°9, 1991. Les pensées réactionnaires. pp. 5-15;
doi : 10.3406/mcm.1991.1034; http://www.persee.fr/doc/mcm_1146-1225_1991_num_9_1_1034
Maître Jacques. Catholicisme d'extrême droite et croisade anti-subversive. In: Revue française de sociologie, 1961, 2-2. Guerre - Armée - Société. pp. 106-117; http://www.persee.fr/doc/rfsoc_0035-2969_1961_num_2_2_5933
Perrineau Pascal, « La montée des droites extrêmes en Europe », Études 12/2002 (Tome 397) , p. 605-613 URL : www.cairn.info/revue-etudes-2002-12-page-605.htm.
A lire aussi : http://www.scienceshumaines.com/front-national-les-raisons-d-une-ascension_fr_31658.html
Etude Critique et Académique du fait maçonnique, reflets de la revue. Envisage la Franc-Maçonnerie comme un univers culturel dont l’étude nécessite ...
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